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Original

Violintango Concerto.

Traduction

Violintango Concerto.

Original

Violintango Concerto composed by Melani Mestre. For violin and string orchestra. Published by Editorial de Musica Boileau. BO.B.3671. The piece, structured in three movements, Allegro - Lento - Allegro, is written, as its name suggests, for a solo violin accompanied by an orchestra -a string orchestra, in this case. Its name aims at relating the composition not only to the instrument for which it was conceived, but also to the genre that marks the aesthetic content of the work. this is the only existing original concert for violin and orchestra of this category to date. The piece was written in February 2009 in the Ukrainian city of Lviv, while I was the conductor of the city's Symphonic Orchestra and we were rehearsing a concert in which we would interpret an instrumental suite from Astor Piazzolla‘s Operatango Maria de Buenos Aires, that had been written some time before. Therefore, the use of the language of tango in the composition of this concert was certainly not fortuitous, but although it seems contradictory, employing it was not an intentional act either. The work itself intends to explore the language of tango by means of all the technical and musical resources offered by the violin, but without letting this become an excuse to just write a tango for violin and orchestra or a tango-style concert. In fact, the piece shows a will to develop and experiment with the several diverse ways in which the language of tango can be presented, with all its dialects and its variants. The language employed in this concert explores all these postulations and develops them, starting from a few rhythmical cells of their own that are juxtaposed and intertwined throughout the three movements, forming an indivisible unit. The accents take a special relevance and become a significant part all the way through the musical discourse, as do the different rhythms that not only shape a particular kind of orchestral accompaniment, but also make up a specific counterpoint to the expressive and melodic needs of the solo violin. Not only does the orchestra accompany its soloist, but in many cases it becomes a soloist in itself. The counterpoint, never used as a compositional tool or as a merely acrobatic display, confers structural meaning to a language that allows a dialog between the couple made up by the soloist and the orchestra, in which they can both speak at the same time without any of the two sides being pushed into the background. The second movement, Lento, the aria structure used is typical from Bach -not so much from Johann Sebastian as from his son, Johann Christian. This structure allows for the juxtaposition in one milonga melody, of a solo violin with a basso continuo by four, whose tempo is marked by the strings. The third movement attempts to explain, gradually and in a linear way, the evolution of the metric of tango, as it moves from a bar of 4. typical of tango. to one of 6. Havanera-like. , thus demonstrating the historical origin of tango as deriving from Havaneras, and the various transformations it has undergone. We then reach the coda of the third movement where, after one of the two cadences of the solo part, all the tunes that have been emerging throughout the concert overlap contrapuntally with all the polyrhythms they make up together, expanding and contracting by way of the internal accents of the music itself and producing the feel of being simultaneously listening to a bar of 4. 4, a 3. 4 and a 6.

Traduction

Violintango Concerto composé par Melani Mestre. Pour violon et orchestre à cordes. Publié par Editorial de Musica Boileau. BO.B.3671. La pièce, structuré en trois mouvements, Allegro - Lento - Allegro, est écrit, comme son nom l'indique, pour un violon solo accompagné par un orchestre-un orchestre à cordes, dans ce cas. Son nom relatif vise à la composition non seulement de l'instrument pour lequel elle a été conçue, mais aussi dans le genre qui marque le contenu esthétique de l'ouvrage. c'est le seul concert existant originale pour violon et orchestre de cette catégorie à ce jour. La pièce a été écrite en Février 2009 dans la ville ukrainienne de Lviv, alors que j'étais le chef d'orchestre de l'Orchestre symphonique de la ville et nous répétait un concert dans lequel nous interpréter une suite instrumentale de Operatango Maria de Buenos Aires d'Astor Piazzolla, qui avait été écrit peu de temps avant. Par conséquent, l'utilisation de la langue de tango dans la composition de ce concert n'était certainement pas fortuite, mais bien qu'il semble contradictoire, en employant ce n'était pas un acte intentionnel soit. Le travail lui-même l'intention d'explorer la langue de tango par le biais de tous les moyens techniques et musicales offertes par le violon, mais sans laisser cela devienne une excuse pour juste écrire un tango pour violon et orchestre ou un concert de tango de style. En fait, la pièce montre une volonté de développer et d'expérimenter avec les différentes manières diverses dans lesquelles la langue de tango peut être présenté, avec tous ses dialectes et ses variantes. Le langage employé dans ce concert explore toutes ces postulats et les développe, à partir de quelques cellules rythmiques propres qui sont juxtaposés et s'entrecroisent tout au long des trois mouvements, formant une unité indivisible. Les accents prennent une importance particulière et deviennent une partie importante tout au long du discours musical, comme le font les différents rythmes qui non seulement façonnent un type particulier de l'accompagnement orchestral, mais aussi constituent un contrepoint spécifique aux besoins d'expression et mélodiques de la violon solo. Non seulement l'orchestre accompagne son soliste, mais dans de nombreux cas, il devient soliste en soi. Le contrepoint, jamais utilisé comme un outil de composition ou comme un écran simplement acrobatique, confère sens structurel à un langage qui permet un dialogue entre le couple formé par le soliste et l'orchestre, dans lequel ils peuvent à la fois parler en même temps, sans des deux côtés étant poussés dans l'arrière-plan. Le deuxième mouvement, Lento, la structure de aria utilisé est typique de Bach, non pas tant de Johann Sebastian comme de son fils, Johann Christian. Cette structure permet la juxtaposition dans un mélodie de milonga, d'un violon solo avec une basse continue par quatre, dont le tempo est marqué par les cordes. Le troisième mouvement tente d'expliquer, progressivement et d'une manière linéaire, l'évolution de la métrique de tango, comme il se déplace d'un bar de 4. typique de tango. l'une des six. Havanera comme. , Démontrant ainsi l'origine historique du tango comme découlant de habaneras, et les diverses transformations qu'elle a subi. Nous atteignons alors la coda du troisième mouvement où, après l'un des deux cadences de la partie solo, tous les airs qui ont été émergents à travers le chevauchement de concert en contrepoint avec tous les polyrythmies qu'ils font ensemble, dilatant et se contractant par l'intermédiaire de la accents internes de la musique elle-même et la production de la sensation d'être en écoutant simultanément à une barre de 4. 4, 3. 4 et 6, un.