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Original

Symphony No. 8 The Journey. Einojuhani Rautavaara.

Traduction

Symphonie n ° 8 The Journey. Einojuhani Rautavaara.

Original

Symphony No. 8 The Journey composed by Einojuhani Rautavaara. 1928-. For orchestra. Score. Published by Fennica Gehrman. FG.042-09088-6. ISBN 979-0-042-09088-6. According to Milan Kundera, symphonic music is a journey through the world, through ever-changing landscapes. It can, according to Rautavaara, also be a journey through human life. The title of the 8th symphony, "The Journey", also had a concrete reason. one of the motifs in the third, slow movement is sung in Rautavaara's opera Thomas to the words "This journey goes on. whose is it. - Of one who wanders from the end of the journey. beyond time. The symphony. 1999. is in four movements. The first is peaceful, proceeding in long sweeps. The symphony having been commissioned by the Philadelphia Orchestra, Rautavaara was able to make the second movement an extremely virtuosic, technically demanding scherzo. The third movement is a slow, poetic episode beginning and ending with the 'signature' motif. The finale is a broad stream. Einojuhani Rautavaara's large-scale works have almost always ended in silence. According to the composer, the 8th symphony nevertheless wanted to end fortissimo - con grandezza.

Traduction

Symphonie n ° 8 The Journey composée par Einojuhani Rautavaara. 1928 -. Pour orchestre. Score. Publié par Fennica Gehrman. FG.042-09088-6. ISBN 979-0-042-09088-6. Selon Milan Kundera, la musique symphonique est un voyage à travers le monde, à travers des paysages sans cesse changeants. Il peut, selon Rautavaara, être aussi un voyage à travers la vie humaine. Le titre de la 8ème symphonie, "The Journey", avait aussi une raison concrète. l'un des motifs de la troisième, le mouvement lent est chanté à l'opéra de Thomas Rautavaara pour les mots «Ce voyage va sur. qui est-il. - De celui qui erre de la fin du voyage. au-delà du temps. La symphonie. 1999. est en quatre mouvements. Le premier est pacifique, de procéder à longs balayages. La symphonie ayant été commandée par l'Orchestre de Philadelphie, Rautavaara a pu faire le deuxième mouvement un scherzo très virtuose, techniquement exigeante. Le troisième mouvement est un processus lent, poétique épisode début et de fin avec le motif «signature». La finale est un vaste courant. Les travaux à grande échelle de Einojuhani Rautavaara ont presque toujours terminé dans le silence. Selon le compositeur, la 8e symphonie néanmoins voulait mettre fin à fortissimo - con grandezza.