Partitions $110.00

Original

Abiquiu. B-Flat Trumpet sheet music. Grade 5.

Traduction

Abiquiu. B-Flat Trompette partitions. 5 e année.

Original

Abiquiu composed by David R. Gillingham. For concert band. Piccolo, Flute 1, Flute 2, Oboe 1, Oboe 2, Bassoon 1. 2, Bb Clarinet 1, Bb Clarinet 2, Bb Clarinet 3, Bb Bass Clarinet, Eb Contralto Clarinet, Eb Alto Saxophone 1, Eb Alto Saxophone 2, Bb Tenor Saxophone, Eb Baritone Saxophone, Bb Trumpet 1, Bb Trumpet 2,. Grade 5. Score and parts. Duration 9. 00. Published by C. Alan Publications. CN.16830. A glorious programatic work that challenges performer and listener alike. With the support of a full percussion section, you will travel from the driving rhythms of the city, to the swell of the desert canyon, to the open skies. Hold on for the ride. Abiquiu was inspired by a provocative poem by the same name written by Mesa State College Professor and Colorado poet, L. Luis Lopez. Take this city-filled soul, pour it out, place it in soil beneath your high desert vista. Fill it with canyon, sky, mesa, mountain, smell of rain and song of bird. Tint each with time of day. let each settle into a painting of sand. so that when I-m away I can close my eyes and gaze upon and breathe your sacred strands. The ideas set forth by each short stanza of the poem are set somewhat programmatically to music. At the onset of the piece the music suggests the 'city-filled soul' with disjunct themes, driving rhythms and harmonic confusion. Envisioning one's self amidst the rush hour of a big city and the ensuing mental frustration. The section features 'calls for help' in the horns and trumpets using large intervals, mostly of 7ths and octaves. One last 'call' culminates the section as the 'city-filled soul' is finally poured out in the soil beneath the 'desert vista. ' The pulse of the city can still be heard with the constant heartbeat of the timpani and remnants of the 'call' motive in the horns. The music dramatically swells and segues with the next section beginning with a backdrop of keyboard percussion, piano and a fluttering of flutes. Arising from the texture is a theme in Db major, beginning in the horns, evoking the spaciousness of the canyon and the vastness of the open air and sky as so eloquently written in the second stanza of the poem. The theme grows in volume and texture and eventually the entire ensemble is singing the beauty of this picturesque scene and the music modulates to F major and finally to D major and then subsides. A mysterious ostinato in the piano, bells and vibraphone provides backdrop for short phrases of a chorale melody played by the clarinets as if in the distance signifying how each element settles 'into a painting of sand. ' Soon, however, the busyness and frustration of the 'city-filled soul' begin to infiltrate the section until it all returns with all of the fury heard in the beginning of the piece. -so that when I-m away-. But soon, as if closing one's eyes to the madness, the beauty of the canyon, sky, mesa, mountain, smell of rain and song of bird burst forth out of the texture and the majesty of the spacious 'canyon' theme returns. -I can close my eyes and gaze upon and breathe your sacred strands. The music 'climbs' to the top of the mountain and ends joyously in Eb major. The texture then thins leaving only the piano, bells and vibraphone and decays into a single Bb on the vibraphone, much like the pure voice of a child. Under this sustained voice, the clarinets quote the opening notes of the 'canyon' theme, followed by the distant, 'sacred strands' of the chorale in the piano and bells. The sequence repeats and the piece ends quietly with the warm sound of the marimba, bells and vibraphone. With the generous support of Stephen Boelter and Karen Combs, Abiquiu was commissioned by the Mesa State College Wind Symphony, for the 2009 Best of the West Music Festival. During the compositional process, Calvin Hofer, conductor, was informed that Stephen developed a recurrence of melanoma, which was terminal. This was devastating news to the Best of the West family. Through my correspondence with Calvin, I discovered how important Best of the West was to Stephen. His vision was simple. to help provide a rich musical experience for all involved - performer, audience, or music educator. Stephen's wife, Karen, continues their visionary work with her financial support of Best of the West. To honor Stephen Boelter, Calvin requested that, if possible, I include a small quote in the piece from Stephen's Alma Mater, the University of Wisconsin-Whitewater. Two phrases from the University of Wisconsin-Whitewater Alma Mater. adapted from Beethoven, Op. 81b. can be found in the clarinets in measures 93-101 and in measures 153-159 in the piano and orchestra bells. Stephen played clarinet in the Mesa State Wind Symphony.

Traduction

Abiquiu composée par David R. Gillingham. Pour orchestre d'harmonie. Piccolo, Flûte 1, Flûte 2, Hautbois 1, Hautbois 2, Basson 1. 2, Clarinette 1, Clarinette 2, Clarinette 3, Bb Bass Clarinet, Eb Contralto Clarinette, Eb Saxophone Alto 1, Eb Saxophone Alto 2, Bb Tenor Saxophone, Eb Saxophone Baryton, Bb Trompette 1, Trompette Bb 2,. 5 e année. Score and parts. Durée 9. 00. Publié par C. Alan Publications. CN.16830. Un travail programmatique glorieuse qui défie l'interprète et l'auditeur semblables. Avec le soutien de toute une section de percussion, vous voyagerez dans les rythmes entraînants de la ville, à la houle du canyon du désert, à ciel ouvert. Tenez bon sur le trajet. Abiquiu a été inspiré par un poème provocateur par le même nom écrit par Mesa State College professeur et poète Colorado, L. Luis Lopez. Prenez cette âme de la ville remplie, versez-le, placez-le dans le sol sous votre vista du désert élevé. Remplissez-le avec canyon, ciel, mesa, montagne, odeur de la pluie et de la chanson de l'oiseau. Teinte chaque moment de la journée. Que chacun se installer dans une peinture de sable. de sorte que lorsque Im loin je peux fermer les yeux et contempler et respirer vos brins sacrés. Les idées énoncées par chaque courte strophe du poème sont fixés peu programmation de la musique. Au début de la pièce la musique suggère «l'âme de la ville rempli 'avec des thèmes disjoints, rythmes entraînants et la confusion harmonique. Envisager de soi au milieu l'heure de pointe d'une grande ville et la frustration mentale qui a suivi. De les appels à l'aide »dans les cors et trompettes les caractéristiques de section à l'aide de grands intervalles, la plupart des 7es et octaves. Un dernier «appel» culmine la section que «l'âme de la ville remplie» est enfin versé dans le sol sous la «vista du désert. «Le pouls de la ville peut encore être entendu avec le rythme cardiaque constant des timbales et des restes de la '' motif d'appel dans les cornes. La musique gonfle considérablement et enchaîne avec la section suivante commence avec un fond de percussion du clavier, piano et un battement de flûtes. Découlant de la texture est un thème majeur en dB, en commençant dans les cornes, évoquant l'espace du canyon et l'immensité de l'air et le ciel comme si éloquemment écrit dans la deuxième strophe du poème. Le thème se développe en volume et texture et éventuellement tout l'ensemble chante la beauté de cette scène pittoresque et la musique module de fa majeur et enfin en ré majeur, puis disparaît. Un ostinato mystérieuse dans le piano, cloches et vibraphone fournit toile de fond pour de courtes phrases d'une mélodie de choral joué par les clarinettes comme dans la distance signifiant comment chaque élément se installe »dans une peinture de sable. «Bientôt, cependant, l'agitation et la frustration de« l'âme de la ville rempli 'commencent à se infiltrer dans la section jusqu'à ce tous les retours avec toute la fureur entendu dans le début de la pièce. -SO que lorsque je-m Away-. Mais bientôt, comme se fermer les yeux à la folie, la beauté du canyon, ciel, mesa, montagne, odeur de la pluie et de la chanson de l'oiseau éclata sur la texture et la majesté des rendements spacieuses à thème «canyon». -Je Peux fermer les yeux et contempler et respirer vos brins sacrés. La musique 'monte' au sommet de la montagne et se termine joyeusement en mi bémol majeur. La texture se amincit puis laissant seulement le piano, cloches et vibraphone et se désintègre en un seul bémol sur le vibraphone, un peu comme la voix pure d'un enfant. Sous cette voix soutenue, les clarinettes citent les premières notes du thème «canyon», suivie par les brins, «sacrés» éloignés de la chorale dans le piano et cloches. La séquence se répète et la pièce se termine tranquillement avec le son chaud de la marimba, les cloches et vibraphone. Avec le soutien généreux de Stephen Boelter et Karen Combs, Abiquiu a été commandé par le Mesa State College Wind Symphony, pour le meilleur de 2009 de la Fête de la musique de l'Ouest. Pendant le processus de composition, Calvin Hofer, chef d'orchestre, a été informé que Stephen a développé une récidive de mélanome, qui était en phase terminale. Ces nouvelles a été dévastateur pour le meilleur de la famille de l'Ouest. Grâce à ma correspondance avec Calvin, je ai découvert l'importance Meilleur de l'ouest était de Stephen. Sa vision était simple. pour aider à fournir une expérience musicale riche pour tous les participants - interprète, du public ou éducateur de musique. De Stephen femme, Karen, continue leur travail visionnaire avec son soutien financier de Best of the West. Pour honorer Stephen Boelter, Calvin a demandé que, si possible, je inclus une petite citation dans la pièce d'Alma Mater de Stephen, l'Université du Wisconsin-Whitewater. Deux phrases de l'Université de Wisconsin-Whitewater Alma Mater. adapté de Beethoven, op. 81b. peut être trouvé dans les clarinettes en mesures 93 à 101 et 153 à 159 mesures dans les piano et orchestre cloches. Stephen joue de la clarinette dans le Mesa State Wind Symphony.