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Original

Edward Gregson. Tributes. Clarinet And Piano. Sheet Music. Clarinet. Piano Accompaniment. CLT. PFA. Edward Gregson.

Traduction

Edward Gregson. Hommages. Clarinette et Piano. Partitions. Clarinette. Accompagnement Piano. CLT. PFA. Edward Gregson.

Original

Edward Gregson completed Tributes in the summer of 2010. Lasting some 16 minutes, there are five pieces in the set, each dedicated to a different composer and a different clarinettist. with whom Gregson had long musical associations. Each of the dedicatee composers wrote wonderfully for the Clarinet and, as a tribute to them, Gregson tried to invade, indeed imitate, their stylistic worlds in these pieces. They are as follows. To Francis Poulenc. for Emma Johnson. – a rather dreamy toccata, lyrical in feel, but interrupted by typically quirky and disruptive rhythmic episodes. To Gerald Finzi. for John Bradbury. – slow and lyrical with long melodic arches. To Igor Stravinsky. for Linda Merrick. – asymmetric rhythms dominate, with wide leaps in the solo line and bitonal harmony on the Piano. To Olivier Messiaen. for Nicholas Cox. – based on the ravishing slow movement for Cello in his Quartet for the End of Time, a seamless melody is woven around ever-changing repeated chords on the Piano. To Béla Bartók. for Michael Collins. – the most virtuoso of the set. after a slow introduction, a swirling folk-like dance unfolds, mirroring Bartok’s penchant for simple modal shapes and ostinati rhythms.

Traduction

Edward Gregson terminé Hommages à l'été 2010. Lasting quelques 16 minutes, il ya cinq pièces dans le jeu, chacune dédiée à un compositeur différent et un clarinettiste différente. avec qui Gregson avait des associations à long musicales. Chacun des compositeurs dédicataire écrit à merveille pour la clarinette et, comme un hommage à eux, Gregson a tenté d'envahir, en effet imiter, leurs mondes stylistiques dans ces pièces. Ils sont comme suit. Pour Francis Poulenc. pour Emma Johnson. - Une toccata plutôt rêveuse, lyrique dans la sensation, mais interrompu par des épisodes rythmiques traditionnellement excentriques et perturbateurs. Pour Gerald Finzi. pour John Bradbury. - Lente et lyrique avec de longs arcs mélodiques. Pour Igor Stravinsky. pour Linda Merrick. - Rythmes asymétriques dominent, avec de larges sauts à la ligne solo et harmonie à deux tons sur le Piano. To Olivier Messiaen. pour Nicholas Cox. - Basé sur le mouvement lent ravissante pour violoncelle dans son Quatuor pour la Fin du Temps, une mélodie sans soudure est tissé autour constante évolution accords répétés sur le piano. Pour Béla Bartók. pour Michael Collins. - Le plus virtuose de l'ensemble. après une introduction lente, une danse folklorique comme tourbillonnant se déroule, reflétant le penchant de Bartok pour les formes modales simples et des rythmes de Ostinati.