Paroles: Alain Barrière. La Mer Est Là.
La mer est la qui me murmure ces mots d'amour et d'infini,
La mer est la qui me rassure, le miracle n'est pas fini !
Je renaitrai de ces blessures, la mer est la qui me le dit ;
Je ne serai jamais parjure a cette nuit !
La mer caresse ton visage, me parle doucement de toi ;
Devais-je t'aimer davantage ? T'ai-je donne assez de moi ?
Il brule en nous, d'etat sauvage, un feu secret, inassouvi ;
Retrouverons-nous le rivage, apres la nuit ?
Bien sur il y a ces orages, de ces tempetes, de ces cris,
La mer se venge, et nous rejette, et nous renie ;
Sourit de nos pauvres naufrages et de leur vanite...
La mer apprend l'humilite...
Ecoute, mon ame lointaine, comme il est fragile et precis,
Ce chant qui nous vient des sirenes... Pour quel appel ? Quelle folie ?
L'homme ne sera jamais lui-meme qu'au bout de quelle tragedie ?
Grand Dieu ! Fallait-il que je t'aime, en cette vie !
Et j'ai pleure mille manieres, desespere, abasourdi,
Face a la mer, devant les portes de la nuit !
Mais elle garde ses mysteres, meme en ces soirs d'ete,
Meme pour ceux qui l'ont chantee...
La mer est la qui me murmure ses mots d'amour et d'infini,
La mer est la qui me rassure, le miracle n'est pas fini !
La mer reflete ton visage, pour quelle etrange prophetie ?
Retrouverons-nous le rivage, apres la nuit ?
Bien sur il y eut ces orages, de ces tempetes, de ces cris,
La mer se moque, et nous rejette, et nous renie ;
Elle gardera ses mysteres, meme en ces soirs d'ete,
Meme pour ceux qui l'ont chantee...
La mer est la qui me rassure, le miracle n'est pas fini !
Je renaitrai de ces blessures, la mer est la qui me le dit ;
Je ne serai jamais parjure a cette nuit !
La mer caresse ton visage, me parle doucement de toi ;
Devais-je t'aimer davantage ? T'ai-je donne assez de moi ?
Il brule en nous, d'etat sauvage, un feu secret, inassouvi ;
Retrouverons-nous le rivage, apres la nuit ?
Bien sur il y a ces orages, de ces tempetes, de ces cris,
La mer se venge, et nous rejette, et nous renie ;
Sourit de nos pauvres naufrages et de leur vanite...
La mer apprend l'humilite...
Ecoute, mon ame lointaine, comme il est fragile et precis,
Ce chant qui nous vient des sirenes... Pour quel appel ? Quelle folie ?
L'homme ne sera jamais lui-meme qu'au bout de quelle tragedie ?
Grand Dieu ! Fallait-il que je t'aime, en cette vie !
Et j'ai pleure mille manieres, desespere, abasourdi,
Face a la mer, devant les portes de la nuit !
Mais elle garde ses mysteres, meme en ces soirs d'ete,
Meme pour ceux qui l'ont chantee...
La mer est la qui me murmure ses mots d'amour et d'infini,
La mer est la qui me rassure, le miracle n'est pas fini !
La mer reflete ton visage, pour quelle etrange prophetie ?
Retrouverons-nous le rivage, apres la nuit ?
Bien sur il y eut ces orages, de ces tempetes, de ces cris,
La mer se moque, et nous rejette, et nous renie ;
Elle gardera ses mysteres, meme en ces soirs d'ete,
Meme pour ceux qui l'ont chantee...
Alain Barrière
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