Paroles: Barbara. Je T'aime.
Comme le vent d'Ouessant vient griffer la falaise,
Comme l'aube, en jouant, peut faire fondre les neiges,
Comme les folles fievres, de fantasmes en malaises,
Comme les doigts du Diable distillent les arpeges,
Comme un ocean, un lac, avant les ouragans,
Comme un grand requin bleu sommeille entre deux eaux,
Comme un horizon pale pour un soleil couchant,
Comme un aigle royal survole les roseaux,
Je t'aime.
Comme un diamant blanc-bleu engendre la folie,
Comme les avalanches se jettent dans un gouffre,
Comme une terre qui s'ouvre a la foudre en furie,
Tu batis tes enfers et y sombres et y souffres.
Comme un oiseau perdu dans les vignes s'enivre,
Tu vas et tu te perds, et derives et chavires.
C'est a la presque-mort que tu me reviens vivre,
Vivre au nouveau soleil de tes anciens soupirs,
Je t'aime.
Comme un grand arc-en-ciel sait feter un orage,
Tu vas noyer tes foudres dans un lac d'oubli.
Comme un chef vainqueur saurait rendre un hommage,
Tes pardons me reviennent comme mes melodies.
Comme un navire au port, contre vents et marees,
Tu defends mes tresors, tu caches mes secrets.
Comme un pale cerbere, tu gardes notre enfer
Et tu m'aimes, tu m'aimes.
Comme le vent d'Ouessant vient griffer la falaise,
Comme l'aube, en jouant, peut faire fondre les neiges,
Comme les folles fievres, de fantasmes en malaises,
Comme les doigts du Diable distillent les arpeges,
Comme le vent d'Ouessant,
Comme l'aube en jouant,
Comme les folles fievres,
Comme les doigts du Diable,
Comme, comme,
Je t'aime, je t'aime,
Comme, comme,
Je t'aime, je t'aime,
Comme, comme,
Tu m'aimes, tu m'aimes,
Comme, comme,
Je t'aime, je t'aime,
Comme, oui comme,
Tu m'aimes, tu m'aimes,
Comme, comme,
Tu m'aimes, tu m'aimes...
Comme l'aube, en jouant, peut faire fondre les neiges,
Comme les folles fievres, de fantasmes en malaises,
Comme les doigts du Diable distillent les arpeges,
Comme un ocean, un lac, avant les ouragans,
Comme un grand requin bleu sommeille entre deux eaux,
Comme un horizon pale pour un soleil couchant,
Comme un aigle royal survole les roseaux,
Je t'aime.
Comme un diamant blanc-bleu engendre la folie,
Comme les avalanches se jettent dans un gouffre,
Comme une terre qui s'ouvre a la foudre en furie,
Tu batis tes enfers et y sombres et y souffres.
Comme un oiseau perdu dans les vignes s'enivre,
Tu vas et tu te perds, et derives et chavires.
C'est a la presque-mort que tu me reviens vivre,
Vivre au nouveau soleil de tes anciens soupirs,
Je t'aime.
Comme un grand arc-en-ciel sait feter un orage,
Tu vas noyer tes foudres dans un lac d'oubli.
Comme un chef vainqueur saurait rendre un hommage,
Tes pardons me reviennent comme mes melodies.
Comme un navire au port, contre vents et marees,
Tu defends mes tresors, tu caches mes secrets.
Comme un pale cerbere, tu gardes notre enfer
Et tu m'aimes, tu m'aimes.
Comme le vent d'Ouessant vient griffer la falaise,
Comme l'aube, en jouant, peut faire fondre les neiges,
Comme les folles fievres, de fantasmes en malaises,
Comme les doigts du Diable distillent les arpeges,
Comme le vent d'Ouessant,
Comme l'aube en jouant,
Comme les folles fievres,
Comme les doigts du Diable,
Comme, comme,
Je t'aime, je t'aime,
Comme, comme,
Je t'aime, je t'aime,
Comme, comme,
Tu m'aimes, tu m'aimes,
Comme, comme,
Je t'aime, je t'aime,
Comme, oui comme,
Tu m'aimes, tu m'aimes,
Comme, comme,
Tu m'aimes, tu m'aimes...
Barbara