Paroles: Cyril Paulus. Banquise. Indéfiniment.
Comme un chien fou, un ignorant
Je guettais l'amour devorant
Sur ma route
Une tornade de grands sentiments
Qui m'emporterait violemment
Dans son souffle
Mais si aimer c'etait rester la a tes cotes
Juste rever qu'aujourd'hui le temps puisse s'arreter
Indefiniment
Indefiniment
Ni arbres ni torrents dechirants
Un ruisseau coule paisiblement
Goutte a goutte
Rien chez nous n'est parfait vraiment
C'est ce qui balaie justement
Tous mes doutes
Mais si aimer c'etait respirer a tes cotes
Juste rever que le temps puisse enfin s'arreter
Indefiniment
Indefiniment
Et j'ai compris que j'avais tort
Le temps s'arrete quand tu t'endors
Et comme pour embellir encore mes nuits
Tu souris...
Indefiniment
Mais si aimer c'etait rester la a tes cotes
Juste rever qu'aujourd'hui le temps puisse s'arreter
Indefiniment
Indefiniment
Indefiniment
Indefiniment...
(Merci a Myst pour cettes paroles)
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