Paroles: Etienne Daho. Corps Et Ârmes. La Baie.
Quitter l'aeroport, ecourter ces adieux
L'emotion est trop vive et mon c?ur bat pour deux
Bientot de ton hublot, l'ile ne sera qu'un point sur l'eau
En partant, tu emportes le meilleur de moi-meme
Je roule vers la baie, son matin lumineux
Ses atomes d'azur, vibrants et veneneux
Rien n'a change pourtant, le jardin lourd est different
En restant seul, je deviens etranger a moi-meme
J'ai perdu, je m'incline, t'en fais pas
Quelqu'un d'autre guidera tes pas
Si mes signaux traversent les airs, l'ocean
Personne n'entend
Dans la chambre deserte, les souvenirs affluent
Et je baisse la tete comme un guerrier vaincu
La plaie encore ouverte, mepris de soi reactive
En restant seul, je deviens un danger pour moi-meme
J'ai perdu, je m'incline, j'ai compris
Et je disparaitrai de ta vie
Si mes signaux traversent les airs, l'ocean
Personne n'entend
J'ai perdu, je m'incline, je comprends
Puisque la-bas, on t'aime, on t'attend
Si mes signaux traversent les airs, l'ocean
Plus personne n'entend.
Etienne Daho
Etienne Daho
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