Paroles: Etienne Daho. Boulevard Des Capucines.
Boulevard des Capucines, ton nom qui tout la haut scintille est le meme que le mien.
C?est l?Olympia qui celebre, ton etoile qui la haut s'eleve et je vis ton succes de loin.
Sur scene, tu es le centre, la foule aimante vacille, j?observe lorsque tu chantes, que brillent les yeux des filles.
Je n?approcherai pas les loges, ou l?on te couvre d?amitie et d?eloges, car la pudeur me le defend.
De loin tu sembles fort et grave, plus que les garcons de ton age, comme lorsque tu etais enfant.
Rue Caumartin je te guette et l?apprehension me vide, tous ces regrets douloureux, me rongent comme l?acide
Je te demande par cette lettre mon garcon, de m?accorder ton pardon.
Tu sais quelle connerie ma jeunesse, mon silence, quelle erreur, quelle perte de temps, si je n?ai pas su te dire a temps, que je pensais a toi, tout le temps, mon guerrier, mon roi, mon petit prince.
Epris de femmes et de vie legere, j?ai tant aime, je suis sincere, l?etreinte de la liberte.
Ni mari ni pere et volage, courant d?air et de passage, sauras tu me regarder, mais tu ignores mes signes, toi mon cruel funambule, alors je crache ces lignes, fracasse et somnambule.
Je te demande par cette lettre mon garcon, de m?accorder ton pardon, tu sais, quelle atrocite, cette guerre, mon depart, quelle erreur, quelle perte de temps, si je n?ai pas su te dire a temps, que tu m?as manque tout le temps, mon guerrier, mon roi, mon petit prince, mon petit prince, pardon.
(Merci a Pascal pour cettes paroles)
C?est l?Olympia qui celebre, ton etoile qui la haut s'eleve et je vis ton succes de loin.
Sur scene, tu es le centre, la foule aimante vacille, j?observe lorsque tu chantes, que brillent les yeux des filles.
Je n?approcherai pas les loges, ou l?on te couvre d?amitie et d?eloges, car la pudeur me le defend.
De loin tu sembles fort et grave, plus que les garcons de ton age, comme lorsque tu etais enfant.
Rue Caumartin je te guette et l?apprehension me vide, tous ces regrets douloureux, me rongent comme l?acide
Je te demande par cette lettre mon garcon, de m?accorder ton pardon.
Tu sais quelle connerie ma jeunesse, mon silence, quelle erreur, quelle perte de temps, si je n?ai pas su te dire a temps, que je pensais a toi, tout le temps, mon guerrier, mon roi, mon petit prince.
Epris de femmes et de vie legere, j?ai tant aime, je suis sincere, l?etreinte de la liberte.
Ni mari ni pere et volage, courant d?air et de passage, sauras tu me regarder, mais tu ignores mes signes, toi mon cruel funambule, alors je crache ces lignes, fracasse et somnambule.
Je te demande par cette lettre mon garcon, de m?accorder ton pardon, tu sais, quelle atrocite, cette guerre, mon depart, quelle erreur, quelle perte de temps, si je n?ai pas su te dire a temps, que tu m?as manque tout le temps, mon guerrier, mon roi, mon petit prince, mon petit prince, pardon.
(Merci a Pascal pour cettes paroles)
Etienne Daho
Etienne Daho
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