Paroles: Gérard Manset. Capitaine Courageux.
Chevelure des ombres mortes
Dans la nuit qui les emporte
Par-dela le vide immense
Entre tenebres et silence
Chevelure des ombres danse
Que plus un vivant ne sorte
Chevelure des ombres mortes
Que plus un vivant ne sorte,
Dans les couloirs, les cohortes
Emmeneront vers le vide
Le navire translucide
Capitaine courageux
Dans l'univers nuageux
Ciel sans fin, poussiere du monde,
Que la verite profonde
Poursuit pour l'eternite
Dans le cargo percute
Sur le flanc, sur le cote
Dans le delta d'Andromede
Chevelures belles ou laides
Retombent sur le navire
Comme poulpe des abysses
Chevelures des algues bleues
Comme guerriers immobiles
Mecanique trop fragile
Des corps humains sur les tables
Ciel de fumee, vent de sable
Ciel sans fin, poussiere du monde
Noir d'abysse, boucles blondes
Des enfants dans leur sommeil
Dans une ruche sans abeille
Et le navire continue
Allant dans sa coque nue
Si seulement t'avais connu la terre,
Du temps des oceans et des continents verts
De la mousse, des plantes, des saisons, de la pluie
Et je pleure sur lui
Qui va dans l'ocean suivant la pente
Masque blanc, vetement d'amiante
Ciel sans fin, poussiere du monde
Ciel sans fin, poussiere du monde
Noir d'abysse, boucles blondes
Des enfants dans leur sommeil
Dans une ruche sans abeille
Et le navire continue
Allant dans sa coque nue
Vers des mondes inconnus
Parlant d'autres univers
Sur des pupitres de verre
La tete a cote du corps
Seul un robot parle encore
Si seulement t'avais connu la terre
Ciel sans fin, poussiere du monde
Vivre juste une seconde
Vivre encore ce qu'il a vu
Vivre ce qu'il a vecu
Capitaine
Si seulement t'avais connu la terre
Du temps des oceans
Et des continents verts
De la mousse, des plantes
Capitaine courageux
Dans l'univers orageux
Poursuit pour l'eternite
Dans le cargo percute
Dans le delta d'Andromede
Chevelures belles ou laides
Retombent sur le navire
Comme poulpe des abysses
Comme poulpe
Capitaine
Que le vide entraine
Sous les etoiles
Comme pollen
Ta peine,
Dans le grand tumulte des cieux
Comme pollen
Dans le grand tumulte...
(Merci a Jean pour cettes paroles)
Dans la nuit qui les emporte
Par-dela le vide immense
Entre tenebres et silence
Chevelure des ombres danse
Que plus un vivant ne sorte
Chevelure des ombres mortes
Que plus un vivant ne sorte,
Dans les couloirs, les cohortes
Emmeneront vers le vide
Le navire translucide
Capitaine courageux
Dans l'univers nuageux
Ciel sans fin, poussiere du monde,
Que la verite profonde
Poursuit pour l'eternite
Dans le cargo percute
Sur le flanc, sur le cote
Dans le delta d'Andromede
Chevelures belles ou laides
Retombent sur le navire
Comme poulpe des abysses
Chevelures des algues bleues
Comme guerriers immobiles
Mecanique trop fragile
Des corps humains sur les tables
Ciel de fumee, vent de sable
Ciel sans fin, poussiere du monde
Noir d'abysse, boucles blondes
Des enfants dans leur sommeil
Dans une ruche sans abeille
Et le navire continue
Allant dans sa coque nue
Si seulement t'avais connu la terre,
Du temps des oceans et des continents verts
De la mousse, des plantes, des saisons, de la pluie
Et je pleure sur lui
Qui va dans l'ocean suivant la pente
Masque blanc, vetement d'amiante
Ciel sans fin, poussiere du monde
Ciel sans fin, poussiere du monde
Noir d'abysse, boucles blondes
Des enfants dans leur sommeil
Dans une ruche sans abeille
Et le navire continue
Allant dans sa coque nue
Vers des mondes inconnus
Parlant d'autres univers
Sur des pupitres de verre
La tete a cote du corps
Seul un robot parle encore
Si seulement t'avais connu la terre
Ciel sans fin, poussiere du monde
Vivre juste une seconde
Vivre encore ce qu'il a vu
Vivre ce qu'il a vecu
Capitaine
Si seulement t'avais connu la terre
Du temps des oceans
Et des continents verts
De la mousse, des plantes
Capitaine courageux
Dans l'univers orageux
Poursuit pour l'eternite
Dans le cargo percute
Dans le delta d'Andromede
Chevelures belles ou laides
Retombent sur le navire
Comme poulpe des abysses
Comme poulpe
Capitaine
Que le vide entraine
Sous les etoiles
Comme pollen
Ta peine,
Dans le grand tumulte des cieux
Comme pollen
Dans le grand tumulte...
(Merci a Jean pour cettes paroles)
Gérard Manset
Gérard Manset
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