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Paroles: Graeme Allwright. L'étranger.

Tous les hommes que tu as connus
Te disaient qu'ils ne voulaient plus
Donner les cartes pris comme dans un piege
C'est dur de retenir la main
D'un homme qui cherche plus loin
Qui veut atteindre le ciel pour se livrer
Et qui veut atteindre le ciel pour se livrer

Puis ramassant les cartes
Qui sont restees la sur la table
Tu sais qu'il t'a laisse tres peu pas meme son rire
Comme tous les joueurs il cherchait
La carte qui est si delirante
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre

Un jour penchee a ta fenetre
Il te dira qu'il veut renaitre
Au monde que ta tendresse lui cache
Et sortant de son portefeuille
Un vieil horaire de train, il dit :
Je t'avais prevenue je suis etranger
Je t'avais prevenue je suis etranger

Maintenant un autre etranger
Semble vouloir que tu ignores ses reves
Comme s'ils etaient le fardeau d'quelqu'un d'autre
Tu as vu cet homme deja
Donner les cartes avec son bras en or
Mais maintenant tu vois sa main est figee
Oui maintenant tu vois sa main est figee

Mais tu n'aimes pas regarder
Un autre homme fatigue
Deposer toutes ses cartes comme une defaite
Tandis qu'il reve jusqu'au sommeil
Dans l'ombre tu vois comme une fumee
Une route qui monte derriere sa tete
Une route qui monte derriere sa tete

Tu lui dis d'entrer et de s'asseoir
Et en te retournant tu vois
Que la porte de ta chambre reste ouverte
Et quand tu prends sa main, il dit
N'aie pas peur ma tendre amie
Ce n'est plus moi, oh mon amour, l'etranger
Ce n'est plus moi, oh mon amour, l'etranger

J'ai attendu toujours certain
De te revoir entre les trains
Bientot il va falloir en prendre un autre
Oh je n'ai jamais eu tu sais
Pas le moindre plan secret
Ni personne pour me conduire
Et tu te demandes ce qu'il cherche a dire
Oui tu te demandes ce qu'il veut dire

En bas au bord du fleuve demain
Je t'attendrai si tu veux bien
La tout pres du pont qu'ils construisent
Puis quitte le quai pour un wagon-lit
Tu sais qu'il cherche un autre abri
Qu'il n'avait jamais ete un etranger
Qu'il n'avait jamais ete un etranger

Et tu dis d'accord, le pont ou bien ailleurs, je viendrai

Puis ramassant les cartes
qui sont restees la sur la table
Tu sais qu'il t'a laisse tres peu pas meme son rire
Comme tous les joueurs il cherchait
La carte qui est si delirante
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre

Un jour penchee a ta fenetre
Il te dira qu'il veut renaitre
Au monde que ta tendresse lui cache
Et sortant de son portefeuille
Un vieil horaire de train, il dit :
Je t'avais prevenue je suis etranger
Je t'avais prevenue je suis etranger...
Graeme Allwright