Paroles: Ludwig Von 88. New Orleans.
Passe comme un reve un univers etrange
Vieux marais insalubres, emanations putrides
Comme une nuit chaude perlee d'air humide
Rampe et s'entrelace en lourdeurs orageuses
Il nous reste encore sifflant, hurlant dans le vent
Des trainees de jazz, de rues contigues
Ils nous reste toujours bas-fonds eventres
Ou se larmoie le souffle d'annees fastueuses
Porte par le fleuve, par un soleil de mort
Lumiere diffuse et folle halo onirique
Dans la moiteur profonde resonne-t'un refrain embrume
Porte par le chant d'une trompette desoeuvree
Ou quelques vieux noirs survivants se meurent sur un vieil air
Musique endiablee, fluide et fluctuante
Repetee mille fois, meme jeu, meme sourire
Piano lancinant s'egaye le temps d'un souvenir...
Vieux marais insalubres, emanations putrides
Comme une nuit chaude perlee d'air humide
Rampe et s'entrelace en lourdeurs orageuses
Il nous reste encore sifflant, hurlant dans le vent
Des trainees de jazz, de rues contigues
Ils nous reste toujours bas-fonds eventres
Ou se larmoie le souffle d'annees fastueuses
Porte par le fleuve, par un soleil de mort
Lumiere diffuse et folle halo onirique
Dans la moiteur profonde resonne-t'un refrain embrume
Porte par le chant d'une trompette desoeuvree
Ou quelques vieux noirs survivants se meurent sur un vieil air
Musique endiablee, fluide et fluctuante
Repetee mille fois, meme jeu, meme sourire
Piano lancinant s'egaye le temps d'un souvenir...
Recherches fréquentes
Recherches récentes