Paroles: Maxime Le Forestier. Fontenay-aux-roses.
Vous etes si jolies
Quand vous passez le soir
A l'angle de ma rue,
Parfumees et fleuries
Avec un ruban noir,
Toutes de bleu vetues.
Quand je vous vois passer,
J'imagine parfois
Des choses insensees,
Les rendez-vous secrets
Au fond d'un jardin froid,
Des serments murmures.
Le soir, dans votre lit,
Je vous devine nues.
Un roman a la main,
Monsieur Audiberti
Vous parle d'inconnu.
Vout etes deja loin.
Vos reves, cette nuit,
De quoi parleront-ils ?
Le soleil fut si lourd.
Demain, c'est samedi.
Je guetterai febrile
Votre sortie du cours.
Dimanche sera gris.
Je ne vous verrai pas,
Pas avant lundi soir.
Ou serez-vous parties ?
Qui vous tiendra la bras ?
Que vous fera-t-on croire ?
Je crois que je vous dois
De vous faire un aveu :
Petites, ecoutez-moi.
C'est la premiere fois
Que je suis amoureux
De tout un pensionnat.
Quand vous passez le soir
A l'angle de ma rue,
Parfumees et fleuries
Avec un ruban noir,
Toutes de bleu vetues.
Quand je vous vois passer,
J'imagine parfois
Des choses insensees,
Les rendez-vous secrets
Au fond d'un jardin froid,
Des serments murmures.
Le soir, dans votre lit,
Je vous devine nues.
Un roman a la main,
Monsieur Audiberti
Vous parle d'inconnu.
Vout etes deja loin.
Vos reves, cette nuit,
De quoi parleront-ils ?
Le soleil fut si lourd.
Demain, c'est samedi.
Je guetterai febrile
Votre sortie du cours.
Dimanche sera gris.
Je ne vous verrai pas,
Pas avant lundi soir.
Ou serez-vous parties ?
Qui vous tiendra la bras ?
Que vous fera-t-on croire ?
Je crois que je vous dois
De vous faire un aveu :
Petites, ecoutez-moi.
C'est la premiere fois
Que je suis amoureux
De tout un pensionnat.
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