Paroles: Maxime Le Forestier. Là Où.
La ou la peau est plus tendre,
Juste a cote
De ces grains d'or et d'ambre,
La ou mes doigts
Glissent sur la soie
Vers cet emoi
Que je pressens
Dans un tremblement.
La ou la mer se dechaine,
Juste a cote
Des etoiles lointaines
Qui sont en toi,
Flammes dans le froid,
Pres de l'effroi,
Pres de la peur,
Comme quand tu meurs.
La ou les vagues s'ecrasent,
Juste a cote,
Au bord de l'extase,
La ou ton corps
Se calme et s'endort
Et cette mort,
Cette brulure
Cette dechirure.
La ou la mer se repose,
Juste a cote
De ces grains d'ambre rose,
La ou ma main
Caresse ta main
Et puis s'eteint
Comme moi-meme
Sans meme un " je t'aime ".
Juste a cote
De ces grains d'or et d'ambre,
La ou mes doigts
Glissent sur la soie
Vers cet emoi
Que je pressens
Dans un tremblement.
La ou la mer se dechaine,
Juste a cote
Des etoiles lointaines
Qui sont en toi,
Flammes dans le froid,
Pres de l'effroi,
Pres de la peur,
Comme quand tu meurs.
La ou les vagues s'ecrasent,
Juste a cote,
Au bord de l'extase,
La ou ton corps
Se calme et s'endort
Et cette mort,
Cette brulure
Cette dechirure.
La ou la mer se repose,
Juste a cote
De ces grains d'ambre rose,
La ou ma main
Caresse ta main
Et puis s'eteint
Comme moi-meme
Sans meme un " je t'aime ".
Maxime Le Forestier
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