Paroles: Moksha. Les Témoins.
Moi j'aimerais tant mener loin, haut d'ici,
Ce monde qui demande des soins, il subit,
Nous bete sur la planete, on le pietine,
Qui est victime ? Qui est temoin quand on crie !
A quoi sert de voler le sein ? Et on prie,
On decide le monde a notre image,
Mais est-ce les dernieres pages d'un livre commun ?
Et qu'est-ce qu'on attend ? Que le temps nous tacle en critique?
Que le ciel tombe sur nous ? Entendez-vous ?
Notre mere crie colere, notre nature la sidere,
Attendons-nous le froid fardeau? oh non !
De quoi a-t-on vraiment besoin quand surgit,
Le point de non-retour au loin et on se dit,
On rechauffe notre destin qu'on abime au loin,
Et on ne veux plus faire semblant de ne rien voir !
Et on ne veux plus faire semblant de ne rien croire !
On precipite notre vue du monde ce soir,
Mais est-ce les dernieres pages d'un livre commun ?
Et qu'est-ce qu'on attend ? Que le temps nous tacle en critique?
Que le ciel tombe sur nous ? Entendez-vous ?
Notre mere crie colere, notre nature la sidere,
Attendons-nous le froid fardeau ? oh non !
Le monde n'est pas a vendre !
Sommes-nous condamnes ?
Toutes ces futurs annees, damnes,
A etre assommes par cette rapidite ?
On n'arrete pas le progres,
Jusqu'a la derniere bouffee,
Derriere l'esperance essoufflee,
Ou est le bonheur quand on parle avec le matador ?
L'horizon semble s'eloigner,
L'horizon semble se noyer...
Et donne moi la main,
Pour toi je veux bien,
Freiner le destin,
Oh j'aimerais bien,
Et pour toi gamin,
Ton sort entre mes mains,
Mais je n'y peux rien,
Je vois d'ici la fin...
(Merci a Addict_of_Moksha pour cettes paroles)
Ce monde qui demande des soins, il subit,
Nous bete sur la planete, on le pietine,
Qui est victime ? Qui est temoin quand on crie !
A quoi sert de voler le sein ? Et on prie,
On decide le monde a notre image,
Mais est-ce les dernieres pages d'un livre commun ?
Et qu'est-ce qu'on attend ? Que le temps nous tacle en critique?
Que le ciel tombe sur nous ? Entendez-vous ?
Notre mere crie colere, notre nature la sidere,
Attendons-nous le froid fardeau? oh non !
De quoi a-t-on vraiment besoin quand surgit,
Le point de non-retour au loin et on se dit,
On rechauffe notre destin qu'on abime au loin,
Et on ne veux plus faire semblant de ne rien voir !
Et on ne veux plus faire semblant de ne rien croire !
On precipite notre vue du monde ce soir,
Mais est-ce les dernieres pages d'un livre commun ?
Et qu'est-ce qu'on attend ? Que le temps nous tacle en critique?
Que le ciel tombe sur nous ? Entendez-vous ?
Notre mere crie colere, notre nature la sidere,
Attendons-nous le froid fardeau ? oh non !
Le monde n'est pas a vendre !
Sommes-nous condamnes ?
Toutes ces futurs annees, damnes,
A etre assommes par cette rapidite ?
On n'arrete pas le progres,
Jusqu'a la derniere bouffee,
Derriere l'esperance essoufflee,
Ou est le bonheur quand on parle avec le matador ?
L'horizon semble s'eloigner,
L'horizon semble se noyer...
Et donne moi la main,
Pour toi je veux bien,
Freiner le destin,
Oh j'aimerais bien,
Et pour toi gamin,
Ton sort entre mes mains,
Mais je n'y peux rien,
Je vois d'ici la fin...
(Merci a Addict_of_Moksha pour cettes paroles)
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