Paroles: Muvrini (I). I Muvrini Et Les 500 Choristes. Veiller Tard.
Les lueurs immobiles d'un jour qui s'acheve
La plainte douloureuse d'un chien qui aboie
Le silence inquietant qui precede les reves
Quand le monde disparu l'on est face a soi
Les frissons ou l'amour et l'automne s'emmelent
Le noir ou s'engloutissent notre foi, nos lois
Issu penseru secretu chi ci corre le vene
Chi ci piglia e gioie, chi ci porta a le pene
Queli visi scurdati chi ci venemu a mente
Ces etreintes qu'en reve on peut vivre cent fois
Ces raisons-la qui font que nos raisons sont vaines
Ces choses au fond de nous qui nous font Veiller Tard
Ces raisons-la qui font que nos raisons sont vaines
Issu qualcosa di noi chi ci face vighja
Lei, lei, lei, lei...
Ces paroles enfermees que l'on n'a pas su dire
Ces regards insistants que l'on n'a pas compris
Ces appels evidents, ces lueurs tardives
Ces morsures aux regrets qui se livrent a la nuit
Ces solitudes dignes au milieu des silences
Isse lacrime di pace chi un ne anu perche
Ces ambitions passees mais auxquelles on repense
Cum?un vechju tesoru chi ormai un n?he piu
Quella leia d'amore chi ci stringhje i cori
Ces desirs evades qui nous feront aimer
Ces raisons-la qui font que nos raisons sont vaines
Issu qualcosa di noi chi ci face vighja
Ces raisons-la qui font que nos raisons sont vaines
Ces choses au fond de nous qui nous font Veiller Tard
Lei, lei, lei, lei...
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