Paroles: Patricia Kaas. Les Mannequins D'osier.
(d. barbelivien-f. bernheim)
Faudrait pouvoir jeter
Tous les mannequins d'osier
Du haut d'un grand pont
Ces fantômes oubliea
Ces ombres du passe
Qui nous espionnent.
Faudrait pouvoir brûler
Les visages adores
De notre enfance
Marcher d'un pas leger
Vers le soleil qui vient
Un insouciance
Et les regarder passer
Sur la riviere gelee
Faudrait pouvoir jeter
Tous les mannequins d'osier
Du haut d'un grand pont
Comme les poupees cassees
Les pierrots abîmes
De la memoire.
Faudrait pouvoir rayer
Les prenoms murmures
Dans sa jeunesse
Et savoir oublier
Les yeux et les baisers de la tendresse
Et les regarder passer
Sur la riviere gelee
Et les regarder passer
Sur la riviere gelee.
Et les regarder passer.
Et les regarder passer
Sur la riviere gelee.
Faudrait pouvoir jeter
Tous les mannequins d'osier
Du haut d'un grand pont
Ces fantômes oubliea
Ces ombres du passe
Qui nous espionnent.
Faudrait pouvoir brûler
Les visages adores
De notre enfance
Marcher d'un pas leger
Vers le soleil qui vient
Un insouciance
Et les regarder passer
Sur la riviere gelee
Faudrait pouvoir jeter
Tous les mannequins d'osier
Du haut d'un grand pont
Comme les poupees cassees
Les pierrots abîmes
De la memoire.
Faudrait pouvoir rayer
Les prenoms murmures
Dans sa jeunesse
Et savoir oublier
Les yeux et les baisers de la tendresse
Et les regarder passer
Sur la riviere gelee
Et les regarder passer
Sur la riviere gelee.
Et les regarder passer.
Et les regarder passer
Sur la riviere gelee.
Patricia Kaas
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