Paroles: Pierre Perret. Ma Femme.
Oh toi ma femme aux paupieres de cedre bleu
Aux regards fabuleux des enfants etonnes
Aux grands yeux prophetiques ou l'on voit se baigner
Des elfes mysterieuses en paillettes dorees
Tes longs cils font des trilles en fumee de gitane
Tes longs cils sont des rames aux vagues de la mer
Des pont-levis fermes par ma bouche salee
Tes longs cils font de trilles en fumee de gitane
Oh toi ma femme aux paupieres de cedre bleu
Tes baisers ont le suc des tortillas indiennes
Des fleurs d'acacia roses des gateaux de Noel
De pate feuilletee fourree d'orties au miel
Ma femme aux pieds de lune aux empreintes de fleurs
Aux verites poignards qui dechirent les nues
Ma femme au rire nu aux sanglots retenus
Ma femme aux pieds de lune aux empreintes de fleurs
Oh toi ma femme aux paupieres de cedre bleu
Aux cris d'oiseaux plaintifs dans ton sommeil d'enfant
Aux etreintes jalouses en machoires de tigre
Aux etreintes jalouses en pointes de diamant
Au ventre palpitant de caille ensanglantee
A la bouche tendue comme un quartier d'orange
Ma femme aux seins secrets aux levres de vendange
Au ventre palpitant de caille ensanglantee
Et je suis la moi je suis la sans rien te dire
Retenant les oiseaux dans ma bouche fermee
Et j'etrangle ma muse et j'etouffe ma lyre
Retenant les oiseaux dans ma bouche fermee
Oh toi ma femme aux paupieres de cedre bleu
Aux longs doigts de corail dans mes cheveux de laine
Aux longs doigts qui s'attardent aux bouches des fontaines
Oh toi ma femme aux paupieres de cedre bleu
Je t'aime
Aux regards fabuleux des enfants etonnes
Aux grands yeux prophetiques ou l'on voit se baigner
Des elfes mysterieuses en paillettes dorees
Tes longs cils font des trilles en fumee de gitane
Tes longs cils sont des rames aux vagues de la mer
Des pont-levis fermes par ma bouche salee
Tes longs cils font de trilles en fumee de gitane
Oh toi ma femme aux paupieres de cedre bleu
Tes baisers ont le suc des tortillas indiennes
Des fleurs d'acacia roses des gateaux de Noel
De pate feuilletee fourree d'orties au miel
Ma femme aux pieds de lune aux empreintes de fleurs
Aux verites poignards qui dechirent les nues
Ma femme au rire nu aux sanglots retenus
Ma femme aux pieds de lune aux empreintes de fleurs
Oh toi ma femme aux paupieres de cedre bleu
Aux cris d'oiseaux plaintifs dans ton sommeil d'enfant
Aux etreintes jalouses en machoires de tigre
Aux etreintes jalouses en pointes de diamant
Au ventre palpitant de caille ensanglantee
A la bouche tendue comme un quartier d'orange
Ma femme aux seins secrets aux levres de vendange
Au ventre palpitant de caille ensanglantee
Et je suis la moi je suis la sans rien te dire
Retenant les oiseaux dans ma bouche fermee
Et j'etrangle ma muse et j'etouffe ma lyre
Retenant les oiseaux dans ma bouche fermee
Oh toi ma femme aux paupieres de cedre bleu
Aux longs doigts de corail dans mes cheveux de laine
Aux longs doigts qui s'attardent aux bouches des fontaines
Oh toi ma femme aux paupieres de cedre bleu
Je t'aime
Pierre Perret
Pierre Perret
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