Paroles: Christophe Rippert. Un Amour De Vacances. Comme L'oiseau.
La, la, ou je vis y'a partout du beton
Des jardins sans maneges eclaires aux neons
La, pres de l'autoroute, c'est le bruit, c'est l'enfer
Si au moins je pouvais m'envoler dans les airs
Comme l'oiseau, j'aimerais partir
Loin de la terre, pouvoir m'enfuir
Un jour enfin, ouvrir mes ailes
Et m'envoler vers le soleil
Comme l'oiseau, j'aimerais, un soir,
Aller feter des retrouvailles
Faire un grand saut dans les etoiles
Comme l'oiseau, j'aimerais pouvoir
Etre enfin libre au moins une fois
Oublier tout ce qui est en bas !
la, dans ma banlieue, y'a souvent du brouillard
Des sirenes dans la nuit, quand eclatent des bagarres
Moi, dans cette galere, j'envie les hirondelles
Et je reve a nouveau de planer avec elles
Comme l'oiseau, j'aimerais partir
Loin de la terre, pouvoir m'enfuir
Un jour enfin, ouvrir mes ailes
Et m'envoler vers le soleil
Comme l'oiseau, j'aimerais, un soir,
Aller feter des retrouvailles
Faire un grand saut dans les etoiles
Comme l'oiseau, j'aimerais pouvoir
Etre enfin libre au moins une fois
Oublier tout ce qui est en bas !
Comme l'oiseau, j'aimerais, un soir,
Aller feter des retrouvailles
Faire un grand saut dans les etoiles
Comme l'oiseau, j'aimerais pouvoir
Etre enfin libre au moins une fois
Oublier tout ce qui est en bas !
Comme l'oiseau, j'aimerais, un soir,
Aller feter des retrouvailles
Faire un grand saut dans les etoiles
Comme l'oiseau, j'aimerais pouvoir
Etre enfin libre au moins une fois
Oublier tout ce qui est en bas !
Un Amour De Vacances
Rippert, Christophe
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