Paroles: Sanseverino. Les Sénégalaises. L'étrangère.
Il existe pres des ecluses
Un bas quartier de bohemiens
Dont la belle jeunesse s?use
A demeler le tien du mien
En ballade on s?y rend en voiture
Ordinairement au mois d?aout
Ils disent la bonne aventure pour des piments et du vin doux.
On passe la nuit claire a boire
On danse en frappant dans ses mains
On n?a pas le temps de le croire
Il fait grand jour et c?est demain
On revient d?une seule traite
Gais sans un sous vaguement gris
Avec des fleurs plein les charrettes
Son destin dans la paume ecrit.
Celle-ci par la vite vit
De l?odeur des magnolias
Sa robe tomba tout de suite
Quand ma hate la delia
En ces temps la j?etais credule
Un mot m?etait promission
Et je prenais les campanules
Pour des fleurs de la passion.
A chaque fois tout recommence
Toute musique me saisit
Et la plus banale des romances
M?est eternelle poesie
Nous avions joue de notre ame
Un log jour une courte nuit
Puis au matin bonsoir madame
L?amour s?acheve avec la pluie.
Les Sénégalaises
Sanseverino
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