Paroles: Serge Lama. J'espère.
Sans doute, a trop servir, nos etreintes se sont usees
La colle de nos corps n'a pas soude les mots brises
Ton adieu s'est fige dans mon c?ur comme du verglas
L'hiver s'installe et les corbeaux sont la
Ton silence est si lourd qu'il finit par faire du bruit
Je tisse des journees qui n'aboutissent qu'a des nuits
Des nuits qui se prolongent et qui s'allongent chaque jour
Ou les etoiles poussent des cris d'amour
J'espere, j'espere
Et je prie comme un enfant
C'est mon espoir qui me defend
J'espere, j'espere,
Plus pale qu'un Pierrot,
Que tu m'ecrives un mot
Je me sens comme un loup pris dans la harde du betail
Je me sens comme un train en greve au milieu de son rail
Je me sens inutile et meme habille je suis nu
Dans mon miroir, je rase un inconnu
Je decortique mes pensees grises avec les doigts
Mon existence crie qu'elle peut se passer de moi
Ma liberte s'attelle aux charrues froides de l'ennui
L'ennui le jour et puis l'effroi la nuit
J'espere, j'espere
Je prie comme autrefois
L'espoir me redonne la foi
J'espere, j'espere
Esclave des gourous
Si tu reviens, je crois en tout
J'espere, j'espere
Je prie a deux genoux
Que ce rien redevienne tout
J'espere, j'espere
D'une foi maladive
Pour qu'un jour, d'aussi loin que tu vives,
Tu m'ecrives... "J'arrive !"
La colle de nos corps n'a pas soude les mots brises
Ton adieu s'est fige dans mon c?ur comme du verglas
L'hiver s'installe et les corbeaux sont la
Ton silence est si lourd qu'il finit par faire du bruit
Je tisse des journees qui n'aboutissent qu'a des nuits
Des nuits qui se prolongent et qui s'allongent chaque jour
Ou les etoiles poussent des cris d'amour
J'espere, j'espere
Et je prie comme un enfant
C'est mon espoir qui me defend
J'espere, j'espere,
Plus pale qu'un Pierrot,
Que tu m'ecrives un mot
Je me sens comme un loup pris dans la harde du betail
Je me sens comme un train en greve au milieu de son rail
Je me sens inutile et meme habille je suis nu
Dans mon miroir, je rase un inconnu
Je decortique mes pensees grises avec les doigts
Mon existence crie qu'elle peut se passer de moi
Ma liberte s'attelle aux charrues froides de l'ennui
L'ennui le jour et puis l'effroi la nuit
J'espere, j'espere
Je prie comme autrefois
L'espoir me redonne la foi
J'espere, j'espere
Esclave des gourous
Si tu reviens, je crois en tout
J'espere, j'espere
Je prie a deux genoux
Que ce rien redevienne tout
J'espere, j'espere
D'une foi maladive
Pour qu'un jour, d'aussi loin que tu vives,
Tu m'ecrives... "J'arrive !"
Serge, Lama
Serge, Lama