Paroles: Serge Lama. La Salle De Bains.
Comme il serait doux d'etre aupres de vous
Dans ces moments ou
Vous refermez la porte derriere vous.
Pour me cacher tout, le meilleur de vous
Toutes vos manies
Ces coins secrets qui me sont interdits.
Derriere le verrou j'attends et je bou
Dans ces moments longs
Ou courts c'est selon, que faites-vous donc ?
J'entends des bruits mous, qui me rendent fou
Des bruits de cotons
Des bruits de chiffons, des bruits de flacons
Vous parfumez-vous, ou bien buvez-vous
Quelques vins bizarres
Que vous cacheriez au fond d'un placard ?
Quel beau rendez-vous que vous avec vous !
Je n'entends plus rien
Etes-vous en train d'admirer vos seins ?
Les caressez-vous dessus et dessous ?
Ma folle pensee
Vient s'imaginer leurs pointes dressees.
Dans un garde-a-vous si dur et si doux
Madame ouvrez-moi !
Ne me laissez pas dans cet etat la !
J'entends tout a-coup fremir le verrou
Vous apparaissez,
Vous me regardez d'un air etonne.
Paree de bijoux, lourde de frous-frous
Et soudain j'ai peur
Comme si je vous croisais dans un ascenseur
Je jette sur vous des yeux de hibou
Sans un mouvement
Comme sous l'effet d'un envoutement
Avec une moue frisant le degout
Vous me balancez : j'ai mal a la tete,
Prepare un cachet et un point c'est tout !
Dans ces moments ou
Vous refermez la porte derriere vous.
Pour me cacher tout, le meilleur de vous
Toutes vos manies
Ces coins secrets qui me sont interdits.
Derriere le verrou j'attends et je bou
Dans ces moments longs
Ou courts c'est selon, que faites-vous donc ?
J'entends des bruits mous, qui me rendent fou
Des bruits de cotons
Des bruits de chiffons, des bruits de flacons
Vous parfumez-vous, ou bien buvez-vous
Quelques vins bizarres
Que vous cacheriez au fond d'un placard ?
Quel beau rendez-vous que vous avec vous !
Je n'entends plus rien
Etes-vous en train d'admirer vos seins ?
Les caressez-vous dessus et dessous ?
Ma folle pensee
Vient s'imaginer leurs pointes dressees.
Dans un garde-a-vous si dur et si doux
Madame ouvrez-moi !
Ne me laissez pas dans cet etat la !
J'entends tout a-coup fremir le verrou
Vous apparaissez,
Vous me regardez d'un air etonne.
Paree de bijoux, lourde de frous-frous
Et soudain j'ai peur
Comme si je vous croisais dans un ascenseur
Je jette sur vous des yeux de hibou
Sans un mouvement
Comme sous l'effet d'un envoutement
Avec une moue frisant le degout
Vous me balancez : j'ai mal a la tete,
Prepare un cachet et un point c'est tout !
Serge, Lama
Serge, Lama
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