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Paroles: Da Silva. Le Carnaval.

Je me suis jete dans la parade
Au milieu des cuivres et des tambours
D'ici au moins j'etais sur que l'on n'entendrait pas ma peine
J'ai pris la marche du carnaval
J'ai defile comme l'on derive
Allonge sur le macadam

Je n'ai pas touche la terre ferme
Mes bras, lever la tete lourde
Et le jour qui se leve me rappelle, me rappelle
Chaque instant oublie que si la vie est terrible
Les journees peuvent etre si belles

L'absence comme une s?ur
Ma plus fidele des compagnes
Ma cavaliere d'honneur
Est entree dans la danse
Ou que j'aille, quoi que je fasse
Elle sera toujours la pour moi
Je ne sais peut-etre meme plus pourquoi

Je n'ai pas touche la terre ferme
Mes bras, lever la tete lourde
Et le jour qui se leve me rappelle, me rappelle
Chaque instant oublie que si la vie est terrible
Les journees peuvent etre si belles

Je me suis jete dans la parade
Au milieu des cuivres et des tambours
D'ici au moins j'etais sur que l'on n'entendrait pas ma peine
J'ai pris la marche du carnaval
J'ai defile comme l'on derive
Allonge sur le macadam

Et si la vie est terrible

Les journees peuvent etre, les journees peuvent etre
Si belles
Et si la vie est terrible
Les journees peuvent etre, les journees peuvent etre
Si belles
Et si la vie est terrible
Les journees peuvent etre, les journees peuvent etre
Si belles
Et si la vie est terrible
Les journees peuvent etre, les journees peuvent etre
Si belles