Paroles: Mano Solo. Sens-tu.
Les anges aux dents cariees n'attendent rien d'un sourire.
Les anges aux poches percees n'ont que leur grappin pour pas mourir.
Tu verras qu'on s'en sortira sans devenir durs comme du bois.
Nous porterons nos montagnes, on se rencontrera.
N'aies pas peur, viendra le jour et l'heure, en douceur la vie soufflera ses vraies couleurs.
Sens-tu que l'amour est en moi, que mon coeur te montre du doigt.
Sens-tu cette liberte nouvelle debarrassee d'un fantome cruel.
Vois-tu ta beaute dans mes yeux quand ils s'eclairent de ta lumiere.
Vois-tu la paix que tu leur conferes quand mon poing s'ouvre enfin.
Vois-tu la joie dans les larmes d'un combattant que tu desarmes, fourbu de fourbir chaque soir ses rasoirs pour trancher dans le noir.
Sais-tu que tes bras seront pour moi tout un monde ou rechauffer mes guerres.
Sais-tu que tes bras seront pour moi tout un monde ou peut-etre enfin je pourrais me taire
Les anges aux poches percees n'ont que leur grappin pour pas mourir.
Tu verras qu'on s'en sortira sans devenir durs comme du bois.
Nous porterons nos montagnes, on se rencontrera.
N'aies pas peur, viendra le jour et l'heure, en douceur la vie soufflera ses vraies couleurs.
Sens-tu que l'amour est en moi, que mon coeur te montre du doigt.
Sens-tu cette liberte nouvelle debarrassee d'un fantome cruel.
Vois-tu ta beaute dans mes yeux quand ils s'eclairent de ta lumiere.
Vois-tu la paix que tu leur conferes quand mon poing s'ouvre enfin.
Vois-tu la joie dans les larmes d'un combattant que tu desarmes, fourbu de fourbir chaque soir ses rasoirs pour trancher dans le noir.
Sais-tu que tes bras seront pour moi tout un monde ou rechauffer mes guerres.
Sais-tu que tes bras seront pour moi tout un monde ou peut-etre enfin je pourrais me taire
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