Paroles: Tagada Jones. Euthanasie.
Trop longtemps que je suis la, cloue sur ma chaise electrique,
A attendre mon sort, et jour et nuit defier la mort !
Mon corridor de la mort, n'as pas de mirador,
Ni de justice, de proces ou de prison,
Je suis une victime en detention.
Et si je decidais d'en finir, qui de vous connait le pire,
Pour se permettre de me juger, me donner, me refuser le droit d'etre euthanasie,
Qu'il vienne me remplacer dans cette putain de peau de condamne.
Je tenais juste a vous dire, quelques mots avant de partir,
Avant d'etre incarcere, de sombrer a jamais.
Je ne crois pas l'avoir merite, mais qu'importe, ce que je sais,
C'est que je suis le seul a pouvoir decider d'attendre ou de sauter,
De me taire, de me taire ou de crier.
Vous les acharnes du traitement therapeutique,
Oui, vous les inconditionnels de l'overdose chimique,
Vos unites de soin ne servent qu'a masquer,
L'incompetence de vos autorites.
Sur le linceul de ma mort, j'observe mon corps qui s'endort,
Toute cette merde qui suintent de mes pores, ce goutte a goutte qu'on m'incorpore,
Je deviens un veritable drugstore?et mes idees peu a peu s'evaporent?
Cette chambre devient le decor, le petit theatre de ma mort,
Tous ces anges en blouses blanches elaborent,
Note par note le requiem de mon sort.
Dans un dernier souffle je crie?
A attendre mon sort, et jour et nuit defier la mort !
Mon corridor de la mort, n'as pas de mirador,
Ni de justice, de proces ou de prison,
Je suis une victime en detention.
Et si je decidais d'en finir, qui de vous connait le pire,
Pour se permettre de me juger, me donner, me refuser le droit d'etre euthanasie,
Qu'il vienne me remplacer dans cette putain de peau de condamne.
Je tenais juste a vous dire, quelques mots avant de partir,
Avant d'etre incarcere, de sombrer a jamais.
Je ne crois pas l'avoir merite, mais qu'importe, ce que je sais,
C'est que je suis le seul a pouvoir decider d'attendre ou de sauter,
De me taire, de me taire ou de crier.
Vous les acharnes du traitement therapeutique,
Oui, vous les inconditionnels de l'overdose chimique,
Vos unites de soin ne servent qu'a masquer,
L'incompetence de vos autorites.
Sur le linceul de ma mort, j'observe mon corps qui s'endort,
Toute cette merde qui suintent de mes pores, ce goutte a goutte qu'on m'incorpore,
Je deviens un veritable drugstore?et mes idees peu a peu s'evaporent?
Cette chambre devient le decor, le petit theatre de ma mort,
Tous ces anges en blouses blanches elaborent,
Note par note le requiem de mon sort.
Dans un dernier souffle je crie?
Tagada Jones
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