Elle passe ses nuits sans dormir A gacher son bel avenir La groupie du pianiste Dieu que cette fille a l'air triste Amoureuse d'un egoiste La groupie
Comment oses-tu douter encore de moi Meme ton amour ne t'en donne pas le droit Si une minute mes souvenirs se noient Je te dis ton nom, je lui souffle
Tous mes amis sont partis Mon coeur a demenage Mes vacances c'est toujours Paris Mes projets c'est continuer Mes amours c'est inventer Si, maman, si
Loin de ses origines, de son histoire, Elle cherche a perdre la memoire. Loin de la mousson et du ciel bleu noir, Dans un monde qui n'a rien a voir, Deracinee
On se regarde tous avec indifference En chiens de faience Si on se rapproche, si par hasard on danse C'est comme une defaillance Mais moi Tu vois J'ai
Un soir, tu trouveras des brouillons dans leur cachette Pour voir, tu sortiras les disques de leur pochette Notre histoire, tu la verras defiler dans
Pour me comprendre, Il faudrait savoir qui je suis. Pour me comprendre, Il faudrait connaitre ma vie Et pour l'apprendre Devenir mon ami. Pour me comprendre
Celui qui chante A son histoire A notre histoire Au fond de lui Celui qui chante Rejoint le ciel Et fait bouger l'ordre eternel Il est heureux, malheureux
Et quand l'autre s'en va Tous les saxophones pleurent Et nous, ca nous demolit le coeur C'est bien peu de choses Juste un moment qui passe Dans l'ocean
Derriere des barreaux Pour quelques mots Qu'il pensait si fort Dehors il fait chaud Des milliers d'oiseaux S'envolent sans effort Quel est ce pays Ou
On a tous quelque chose en nous de Tennessee cette volonte de prolonger la nuit ce desir fou de vivre une autre vie ce reve en nous avec ses mots a lui
Tu t'enfermes des heures comme un lion dans une cage, Dans le fond d'un vieux garage. Tape et tape des heures tes accords qui degagent Tu envoies ton
Il y a tant de vagues et de fumee Qu'on arrive plus a distinguer Le blanc du noir Et l'energie du desespoir Le telephone pourra sonner Il n'y aura plus
On est comme, on est comme des loups, On aime la vie qui a du gout, Meme celui du sang on s'en fou, On est comme des loups, comme des loups. On est comme
Il manque quelqu'un pres de moi Je me retourne tout le monde est la D'ou vient ce sentiment bizarre que je suis seul Parmi tous ces amis et ces filles
mystere On a besoin de regarder la Lune pour oublier la Terre. Laissez passer, Laissez passer les reves. Laissez passer, Laissez passer les reves. Stevenson, Jules Verne ou Georges