le c?ur n'entend plus que lui Ne bouge pas c'est si fragile Si precaire si hasardeux Cet instant d'ombre pour nous deux Dans le silence de la ville
Et le c?ur n'entend plus que lui Ne bouge pas c'est si fragile Si precaire si hasardeux Cet instant d'ombre pour nous deux Dans le silence de la ville
pas On y cultive les secrets On y interdit le silence On fait du faux avec du vrai Et l'on y dine comme on danse Le seigneur des lieux vous recoit Comme
piazza Le c?ur tranquille le regard fier Pablo Miguel s'avance tout droit vers la lumiere Et le public sur son passage Ovationne le courage du matador Soudain le silence
un mot qui parle de geant Americana a la fureur de vivre en noir et blanc L'avion se pose en silence, Comme un goeland qui vient de France Sur la ville
De quel sang Et tous ces regards qui me suivent Et tous ces regards qui me hantent Le premier cri, le deuxieme cri, le troisieme cri et le silence
Nous sommes deux ombres Et deux solitudes Un grand amour sombre Dans les habitudes Et l'on ose a peine Rompre le silence Mieux vaudrait la haine Que l
de vie Dans la ville endormie Dans la ville endormie Ou je veille encore Le silence me poursuit Lorsque la ville s'endort Je voudrai peupler la nuit Lorsque la ville
veux retrouver la vie douce, Vivre avec toi dans la clarte de mes vingt ans. Et remonter vers la source d'ou jaillissent les printemps. Dans le silence
moi-meme Je profite de ce silence Histoire de lire, de relire Des cendres en soie De l?or dans les doigts Je lis sur tes levres Le temps qui passe Et
putain, donnons du temps, dans nos bouches le mot liberte devient insultant car c'est les soldats qui le portent et non plus le vent comme si le monde
dans mon hamac Etant plus jeune, j'adorais les bruits de la ville Des gens qui se filent, et des automobiles Desormais, je prefere le silence Me
puisque j'ecris dans le silence Bel et bien est-ce que tu mesures maintenant l'importance De celui la meme qui regarde le monde libre et seul pose un
limes a ras de rotule Plus loin que la braise flambante de l'?il LE SILENCE Le champ clos du silence La fermentation du silence Qui butte contre les
Dormir le jour Vivre la vie Au jour le jour Puisque leurs corps les rappellent au sommeil Ils s?arrachent en silence aux clameurs invaincues A repousser le
J'suis fatiguee de n'avoir rien dit Prise dans un silence qui pense Que par l'absence on oublie Du coup on a decoupe nos vies On est devenus petits
met sa vie de cote Il donne a la nuit toute sa poesie Et parle au silence son meilleur ami Il plonge dans le ciel Pour capter l'etincelle Celle qui le
l'eau dans un trou J'vais marcher dans le bois Pour suivre le silence pas a pas Je sortirai la nuit tombee voir la variciel Puis j'entrerai me rechauffer Dans