'ai vu Dans les traces de leurs pas J'avais du plomb dans l'aile du jour C'est les petits doigts qui me l'ont dit Qui m'ont releve le soleil qui tombe
les rayons du soleil Compte les rayons du soleil Et tu comprendras a quel point je t'aime Et tu comprendras a quel point je t'aime Compte les grains
Il fait dimanche quand tu souris Et par les persiennes baissees Un rayon de soleil rougit Les murs de notre nid douillet Il fait dimanche au bord de
alaykoum) Si vaste est le desert, si courte notre vie L'homme se croit maitre de l'Univers, ici on se voit tout petit Grains de sables emportes par
les nuages, Apres la pluie, la chaleur etouffante assecher la tuile Revoir encore une fois, l'croissant lunaire embraser la nuit Embrasser mes anges, quand l'soleil
les envoient pour une poignee de biftons, guerre fraternelle Les armes poussent comme la mauvaise herbe L'image du gangster se propage comme la gangrene seme ses graines Graines, graines, graines
Nous etions au fond de l'Afrique Gardiens jaloux de nos couleurs, nos couleurs Grands sous un soleil magnifique Retentissait ce cri vainqueur C'est nous
femmes sont lascives Au soleil redoute Et s'il n'y a pas d'hiver Cela n'est pas l'ete La pluie est traversiere Elle bat de grain en grain Quelques vieux
Cuba c'est chez toi que j'arrive Je rencontre un vieux negre aux yeux de bois brulant Assis devant la mer grain de cafe torride Le front dans le soleil
Mon prince noir et famelique Ma pauvre graine de clodo Toi qui vecus fantomatique En peignant tes vieux godillots Toi qui allais la dalle en pente Toi
Le soleil Les moissons Tout ce que j'aime Tout ce que j'aime au creux des mains Combats d'hier combats toujours recommences Premier cri de la vie graines
tous les soleils de l'Orient J'ai cru t'apercevoir au loin Sur ma peau courrait le vent Est-ce bien toi la bas elegant Au milieu de milliers de grains
Encore un jour de ma vie Le Luxembourg a vieilli Est-ce que c'est lui? Est-ce que c'est moi? Je ne sais pas Encore un jour sans soleil Encore un jour
Le soleil est si fort, viens me voir ! Ne reste pas la dehors, viens me voir ! Viens te mettre a l'abri, viens me voir ! Viens te mettre a l'ombre ici
Des couleurs et des sourires des douleurs des souvenirs nee sous le meme soleil sans les memes droits religions et habitudes illusions ou certitudes
et ses us Alors, chacun les bras en c?ur, corps a couteaux tires Se tendait vers la ligne supreme Vers les extremites d'un ciel, d'un soleil delivre
'ai vu l'soleil, mordu la poussiere. Elle allait comme on danse a deux, Une allure assez, Assez Cavaliere, Jeter sa poudre aux yeux, Un grain d'ivresse, un grain
je n?aurais regarde que toi Ce soleil-la Y?avait ce soleil-la Qui donnait a ce moment-la, je ne sais, je ne sais quoi Ce soleil-la J?aimais ce soleil