veux rester dans ton histoire Une petite porte ouverte Dans le couloir o? fuis Derri? les barreaux de ta m?ire M? o? raison d?rte Je t'entendrai sans un cri
Le vent a porte sa voix comment l'oublier De Luxor a Sakarya comment l'oublier Comment effacer le reve Quand au ciel blesse s'eleve Le cri d'une colombe
le vent pour que tu seches tes larmes Je fais pleurer le ciel pour que tu baisses les armes T'offre le soleil pour eclaircir le gris de ta vie La
au cri du vent ... d'hiver Hiver C'etait le bruit, c'etait la guerre Mon delire allait crescendo Je m'accrochais a mes chevaux Je m'accrochais au cri
Et je reste des heures a regarder la mer Le coeur abasourdit les pensees de travers Et je ne comprends rien a ce triste univers Tout est couleur de pluie
une famille Qui lutte pour son domaine Mais j'ai jamais le temps Parce que j' reste que le week-end A la campagne Entends-tu au loin le cri De la grivette
un soir de piano bar, Dans une ville d?hiver et de vent. C?est un soir de pas d?histoires, Ou j?essaie sans toi de passer le temps. Le piano joue de
s'endort Avec un coeur de glace froid comme le nord... Vous qui meprisez... meprisez mes tourments Vous n'avez rien compris, non... je ne suis que du vent
dans ton histoire Une petite porte ouverte Dans le couloir ou tu fuis Derriere les barreaux de ta memoire Meme ou la raison deserte Je t'entendrai sans un cri
Pour toi J'etranglerai ma rage Pour toi Je dompterai l'orage Broyant d'un coup Le temps des loups Ecoute-moi Moi dont le coeur n'est plus qu'un cri Entre
Je ne veux plus entendre parler de bonheur Mais que le chant du vent devienne un chant funebre Pour que le monde entier partage ma douleur L'orgueil et le
'azur, pour le temps De ma vie Ton nom Que j'ecris sur les murs, sur les arbres, partout Et le crie sur les toits, dans le vent comme un fou Que tu sois
pourquoi ses parents l'ont abandonne, au grand vent des communicants c'est fini le temps des instruits, le temps des populaires aussi, fini le temps
, la pluie, Paris Paris de St Lazare Des juke box allumes Des marlous banlieusards Des bistots enfumes Paris de Jacques Prevert Dans les jardins d'automne Ou le vent
, Kaboul effacee par le cri d'une bombe. Bagdad effacee par le cri d'une bombe Beyrouth effacee par le cri d'une bombe... Oh no no no noooo (Merci a Biron le