volets de mes fr?s Y'a pas d'opale autour de mes doigts Ni cath?ale o?cher mes pri?s Juste un peu d'or autour de ma voix Je vais les routes et je vais les
pas Lutte apr?lutte, pire apr?pire Chaque minute, j'ai cru tenir J'voudrais apprendre jour apr?jour Mais qui commande ?os amours? Je sais les hivers,
'as port?lus haut que moi Je suis fi? de nous Tout est clair pour nous Oh oui j'esp? en nous En croisant les doigts Tu m'as port?lus haut que moi Et
film d'amour qui nous ressemble un peu Et se serrent la main quand ils se disent adieux Voila, les mots les gestes qui font nos nuits nos jours Les
loin et embrase les tours je marche seul comme ceux que n'embrasse plus l'amour les rues sont larges, paves de l'or de mes souvenirs d'enfance et les
verra morte, Quand je pass'rais la porte, Les grelots et les cloches chanteront un air qui s'approche, A ma grande surprise, Au temps des cerises. Et tout les
de toi A toi le frere que je n'ai jamais eu Et toi la femme qui me fera jamais cocu N'ouvre pas ta porte faut pas que je sorte Les rues sont mortes
Qui est cette femme qui marche dans les rues ? Ou va-t-elle Dans la nuit brouillard ou souffle un hiver glace, Que fait-elle ? Cachee par un grand foulard
, a peine, C?ur tout blanc, et griffes aux genoux, Que ce furent, j'etais precoce, De tendres amours de gosse, Ou les morsures d'un amour fou, Du plus
beau : regarde le jour paraitre. A chaque jour recommence, A se vouloir, a se garder, A se perdre, a se dechirer, A se battre, a se crucifier. Passent les vents et les
ecouter, T'as dit "je veux" Avec ferveur. Tu t'es couche Aux sables mouvants Des amours condamnees. Nos saisons ne sont plus les memes. Tu es printemps Je suis hiver