j'veux le cheese a Mickey Mouse La France est archi bonne Mon ame toujours au tier-quar comme un taxiphone J'raconte beaucoup de de-mer comme un tas d
On me menace de mort au telephone, m'appelle d'un Millenium Si je t'attrapes, tu seras cloue au sol, couvert d'Aluminium Je suis le tsunami, de la mer, j'ai le fow de la mer
Je veux tout et tout d'suite la street m'a toujours coache chui toujours chaud eh ! negro chui jamais fauche a travers ma reussite tu vois ton echec donne
pas que les flics te leve Mets toi a l'aise Kho vas-y vite, prend ton biff Baise ailleurs car ici c'est trop guez-mer Mala: Touche pas a mon 9.2 pleazi
a que ca qui compte la facade Ah, ah oui ! Une supposition par exemple Vous pouvez pas dire de quelqu'un Vu de dos et a bonne mine Ah ? Non bon... Alors, toujours, toujours, toujours
ce balancement Mon pere ma mere jamais ensemble mais tours a tours presents Les demenagements, menagement s'enchenerent Et j'ai encore le mal de mer
Parfois je pense a toi si fort Je recree ton ame et ton corps Je pense a toi et m'emerveille Je me prolonge en toi Comme le fleuve dans la mer Et la
plus grand qu'un coeur tranquille C'est nos racines Elles sont toujours restees loin La ou on peut voir la mer sans fin Et l'avenir Et l'avenir Vouloir toujours
veux Toute la vie tu pouvais pas lui plaire Regarde un peu Tous ces amour qui prennent l'air Toute la vie tu pouvais pas lui faire Toujours "plus mieux" Toujours
vrai dire, j'avais change de mine J'etais alors un vrai matelot Chaque fois que j'entrais dans un port J'allais rever le long des quais Sur la mer quand
la poussiere, de la pire des manieres Peu fiers de retourner dans la plantation d'hier La mer est une frontiere, Comment aller ailleurs Desormais libres, ouais, mais toujours
ai ce que je veux Hisser le pavillon bleu Car ce soir j'ai touche Terre, Terre d'asile, sur ta peau de velours Glissent les encore et les toujours
game I get what I want Haul up the blue flag Because tonight I touched Terre, Terre d'asile, sur ta peau de velours Glissent les encore et les toujours
(Eddy Marnay / Jean-Pierre Goussaud) Sur une plage tout en nuages Je courais je courais Et j'entendais crier Le vent la mer et les orages Tout autour
Mais pas le ciel, il m'entend pas Mais pas le ciel, trop haut pour moi Quand j'me reveille je loue le jour La vie toujours, toutes ses merveilles