ses rayons d'or Les fleurs dansaient sur un meme accord Des chevaux blancs avec des ailes Semblaient vouloir toucher le ciel Vraiment j'?is au pays des
La-bas, Zorba, dans son pays, S'elance, il danse, le sirtaki Deja, la joie conduit ses pas, Vient il nous tend les bras. Si tu veux couvrir de roses
voulu dire des choses, reunir des Hommes de cultures differentes, parce que j'ai prone le dialogue et preche l'amour, preche la vraie parole. Reunir des
L'est un pays tres loin d'ici, L'est un pays tres loin d'ici, Ou naguere vivait une rose, Ou naguere vivait une rose, Rose de Liberte, pardi ! Un jour
en quinconce debordant du fatras des moissons Au bout de l'ocean Le poil humide des chevaux de cristal Le corail des lavoirs et des sources Les chiens
une rose blanche De lettre, elle ne recut jamais Sa fille etait perdue pour toujours Quand son fils laissa ses barques Pour aller mourir comme le pere, Les ronces pousserent dans ses champs Avec le
serai a mon tour La rose des vents, qui guide les amants Si j'ai suivi le chant de mes veines Aussi loin que m'emmene ta voix J'ai tourne la rose des
un zoo Oh ye ! Oh ye ! J'ai recu une lettre de la Presidence Me demandant «Antoine, vous avez du bon sens Comment faire pour endormir le pays ?» Avec le foot et le
'Afrique De decouvrir la mer, le soleil et l'amour Des nuits entieres ils deviserent Sur les toits de la casbah Des femmes, de la mort, de scoumoune de baraka Le
ma maison je me battrai n?accepterai qu?apres avoir tout fait mais la tant pis j?ai beau avoir le rose mes armes de survie que fais-je des mysteres
prose prendre le temps me faire des illusions croire dans le bon flaner dans les champs appelle-moi naive ne pas juger vite tresser des marguerites refuser d?etre sur le
melancolie, Melancolie. Jardin A ciel ouvert, Jardin, Est-ce deja le paradis ? Precy, Oh, que j'aime t'attendre, le soir, a Precy, Silence. Juste le
est petit, Le pays des parents, Ou j'irai aussi quand je serai grand. Aura-t-il des prairies, Des chevaux blancs. Est-ce loin, ce pays ? Oh, emmene-