Jean Huré
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3 Chansons monodiques sur des vers d'André Spire4 Lettres de femmes4 Poèmes7 chansons de BretagneA
Air for Cello (Air pour violoncelle)Au bois sacréC
Cello Sonata in F major (Sonate pour violoncelle en fa majeur)Cello Sonata in F-sharp major (Sonate pour violoncelle en fa dièse majeur)Cello Sonata in F-sharp minor (Sonate pour violoncelle en fa dièse mineur)Communion sur un NoëlI
Interlude-ÉlévationJ
Jacques et JacquelineL
Le petit cordonnierL'Esthétique de L'OrgueN
NocturneP
Piano QuintetPiano Sonata No.1 (Sonate pour piano n ° 1)Piano Sonata No.2 (Sonate pour piano n ° 2)Pièce élégiaque No.1Poèmes enfantinsS
SérénadeSonatineString Quartet No.1 (Quatuor à cordes n ° 1)String Quartet No.2 (Quatuor à cordes n ° 2)Suite sur des chants bretonsT
Te DeumV
Valse pour jouer à MontmartreViolin Sonata (Sonate pour violon)WikipediaJean Huré, né à Gien (Loiret) le 17 septembre 1877 et mort à Paris le 27 janvier 1930, est un pianiste, organiste, musicologue, musicographe, théoricien et compositeur français.
Dès l'âge de 12 ans il se produisait comme pianiste et organiste, et à 17 ans il faisait entendre sa première composition. Virtuose de grand talent, il entreprit des tournées comme pianiste dans toute l'Europe et connut un succès considérable. Comme organiste, il fut successivement titulaire des orgues de Notre-Dame-des-Blancs-Manteaux, de Saint-Martin-des-Champs, de Saint-Séverin et de Saint-Augustin où il succéda à
Eugène Gigout en 1926.
Il fonda en 1924 la revue L’Orgue et les organistes dont il assuma la direction, et il publia de nombreux ouvrages sur la technique du piano et de l'orgue. Il a composé de la musique de chambre (sonates, nocturnes, quatuors à cordes...), de la musique vocale ainsi que des œuvres pour le théâtre, et quelques pièces d'orgue.
Il meurt des suites d'une pneumonie à Paris le 27 janvier 1930.
Le peintre Alexis Mérodack-Jeanneau fit son portrait, un pastel, en 1899.
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