Paroles: Bratsch. Other. Salvatrices Mamelles.
Je suis entre en courant dans le bar
a mes trousses une bande de malabars
la toliere sympa me jette un regard
et du coin de l'oeil me designe le placard
je fonce, me glisse dans le sombre reduit
deja dans l'bar les lascars font du bruit
la vue des nibars de l'hotesse les seduit
ils commencent a boire et puis ils m'oublient
Dehors le soir souligne de noir
les feux de la ville et les yeux des filles
sur le trottoir comme dans un miroir,
le ciel de filet d'or tisse une lentille
Squelette disloque je me suis reveille
La belle ensommeillee, m'avait oublie
au milieu du cafe me voit debraille
j'raconte pourquoi hier j'etais effraye
au coin d'une rue hier je tombe sur ces mecs
qui quand ils croisent une gueule d'azteques
n'ont qu'une idee lui coller une pasteque
j'voulais pas finir hache comme un steak
je decide alors de me faire la belle
je voulais dire m'enfuir a tire d'ailes
j'avise dans l'cafe la dans la ruelle,
j'm'en sors grace a tes salvatrices mamelles
les yeux brillant la belle me dit sans ombrage
azteque qu'importe, j'aime bien ton visage
alors peut etre qu'apres tous ces orages
enfin je vais pouvoir calmer ma rage
dehors le jour nous parait si lourd
et la grande ville traine ses faubourgs
dehors le jour apres l'amour
deguise les heures et nous joue des tours X 3
(Thanks to marlou for these lyrics)
Recherches fréquentes