Paroles: William Sheller. Les Machines Absurdes.
J'ai reve, un soir de solitude,
Avec exactitude,
Une heure au bord de l'eau.
J'ai cru voir avec incertitude
Des machines absurdes
Passer sur les flots.
Vers les lumieres oranges,
Les gens, ca les derange
Que je ne sache pas auquel ressembler.
Vous aviez l'air etrange,
Des yeux de mauvais anges
Que je ne peux plus oublier.
J'ai le mal du c?ur en altitude,
Dans l'immensitude
De mon ciel d'aimer.
C'est, faut croire, une facheuse habitude
Et j'ai peu d'aptitude
A la vouloir changer.
Vers les lumieres oranges,
Les gens, ca les derange
Que je ne sache pas auquel ressembler.
Vous aviez l'air etrange,
Des yeux de mauvais anges
Que je ne peux plus oublier.
J'ai reve, un soir de solitude,
A des machines absurdes,
Une heure de mon passe
Avec exactitude,
Une heure au bord de l'eau.
J'ai cru voir avec incertitude
Des machines absurdes
Passer sur les flots.
Vers les lumieres oranges,
Les gens, ca les derange
Que je ne sache pas auquel ressembler.
Vous aviez l'air etrange,
Des yeux de mauvais anges
Que je ne peux plus oublier.
J'ai le mal du c?ur en altitude,
Dans l'immensitude
De mon ciel d'aimer.
C'est, faut croire, une facheuse habitude
Et j'ai peu d'aptitude
A la vouloir changer.
Vers les lumieres oranges,
Les gens, ca les derange
Que je ne sache pas auquel ressembler.
Vous aviez l'air etrange,
Des yeux de mauvais anges
Que je ne peux plus oublier.
J'ai reve, un soir de solitude,
A des machines absurdes,
Une heure de mon passe
Sheller, William
Sheller, William
Recherches fréquentes