Ouvrez les yeux, regardez Et nous y sommes Derriere ces portes d'entree De memoire d'homme Rien ne fut imagine Plus beau en somme {Refrain:} Jamais un
Au-dessus des lilas De la porte, en bas De la tour Nord Dans un vieux chateau-fort Au fond d'un bois noir De mauvais sorts Ce qu'on y voit La-haut, par
Bleu et blanc sont les bords de mer Ou, bien des annees durant, On s'est vus souvent Jusqu'au revoir et a l'annee prochaine Tant se passe le temps solaire
Maintenant, j' te souhaite un bon voyage Et que du bonheur tout au bout Un point qui perce les nuages Me laisse un desert en dessous Me reste l'angle
A la lune et la brume, montant dans l'air Les nuages, en lumiere, vont passer la nuit A l'heure du soir ou vont tomber les poussieres Le meme banc de
De voir le jour qui se leve En un si beau matin, De sentir si bon l'air du jardin Au sortir d'un si beau reve Dont je n' sais plus la fin, Je m' dis
Le meme echo qui va de mur en mur De mes pas dans la nuit Les neons inutiles D'un desert endormi Quelques figures qu'on croise a l'aventure Qui passent
Du haut de chez elle, ca fait bizarre On voit les gens tout p'tits J'entends meme pas les bruits Monter d' la rue, on est peinard Y a du soleil a en
Lady Eloise La belle au chapeau noir Est rentree bien tard Mais tant pis pour c' que les gens disent Elle peut sourire A la somme remise A l'homme en
A la porte eclairee par deux ampoules Le long du trottoir, ce soir, il y aura foule On annonce a l'affiche, tenez-vous bien, la belle Armande Celle qui
Maman est folle. On n'y peut rien. Mais c'qui nous console, C'est qu'elle nous aime bien. Quand elle s'envole, On lui tient la main, Comme un ballon frivole
Encore un jour tout seul Ou tout fout l'camp Tu vois j'ai jamais su Tell'ment parler aux gens J'suis mal dans ma peau J'ai un peu froid dans l'dos Lent
C'est la chanson avec laquelle se termine Un coup du c?ur, comme le destin les dessine, D'un trace un peu court et d'une main vagabonde Elle m'aurait
Sous les gouttieres de mon hotel Ya deux etoiles au long du mur Et leur lumiere d'un rouge impur Bat comme un c?ur dans la ruelle De ma fenetre sur
Et l'orage a passe Sur le village encore vide. Les gens sont arrives. C'est le vieux chien qui les guide. Quelqu'un s'avance au devant d'eux. La maison
La vie c'est comme une image. Tu t'imagines dans une cage ou ailleurs. Tu dis c'est pas mon destin, Ou bien tu dis c'est dommage et tu pleures. On m'
C'est a peu pres l'heure ou ils eclairent les fontaines, Ou je sors un peu pour prendre l'air, Enfin ou je traine. J'essuie les regards de tous ceux qui
C'est une pluie legere Qui court sur mon histoire Des lettres d'avant-guerre Et leurs parfums bizarres Les orgueilleuses alors avaient la fievre Et passaient