No more smiles, no more tears No more prayers, no more fears Nothing left, why go on When your lover is gone Shout with one Ring the bells Throughout
C'est pas seulement ma voix qui chante. C'est l'autre voix, une foule de voix, Voix d'aujourd'hui ou d'autrefois, Des voix marrantes, ensoleillees,
Allez venez! Milord Vous asseoir a ma table Il fait si froid dehors Ici, c'est confortable Laissez-vous faire, Milord Et prenez bien vos aises Vos
Cet air qui m'obsede jour et nuit Cet air n'est pas ne d'aujourd'hui Il vient d'aussi loin que je viens Traine par cent mille musiciens Un jour cet
Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer Et la terre peut bien s'ecrouler Peu m'importe si tu m'aimes Je me fous du monde entier Tant qu'l'amour inond
Tu me fais tourner la tete Mon manege a moi, c'est toi Je suis toujours a la fete Quand tu me tiens dans tes bras Je ferais le tour du monde Ca
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu ! Laissez-le-moi Encore un peu, Mon amoureux ! Un jour, deux jours, huit jours... Laissez-le-moi Encore un peu A
Sur cette terr', ma seul' joie, mon seul bonheur C'est mon homme. J'ai donne tout c'que j'ai, mon amour et tout mon c?ur A mon homme Et meme la nuit
Il avait de grands yeux tres clairs Ou parfois passaient des eclairs Comme au ciel passent des orages. Il etait plein de tatouages Que j'ai jamais
Rien de rien... Il ne se passe jamais rien pour moi. Je me demande pourquoi ! Rien ! Rien ! Rien ! Il ne se passe jamais rien !... Rien de rien...
Il y en a qui viennent au monde veinards. D'autres, au contraire, toute leur vie sont bignards. Mon pere etait, pairait-il, un baron. Ma mere etait
Je revois la ville en fete et en delire Suffoquant sous le soleil et sous la joie Et j'entends dans la musique les cris, les rires Qui eclatent et
Adieu mon c?ur. On te jette au malheur. Tu n'auras pas mes yeux Pour mourir... Adieu mon c?ur. Les echos du bonheur Font tes chants tristes Autant qu'
Le long de l'herbe, L'eau coule et fait des ronds. Le ciel superbe Eblouit les environs. Le grand soleil joue aux boules Avec les pommiers fleuris. Le
Un printemps meurt, en vient un autre Et tout change, et tout est pareil. Le bonheur n'est pas le notre, Pas plus que le soleil. Ecoute, ecoute dans le
D'un bout a l'autre de la semaine, Sur les boulevards, dans les faubourgs, On les voit trainer par centaines, Leurs guetres sales et leurs amours
Avec ce soleil, on avait envie De ne pas parler, De boire de la vie A petites goulees. Sous le ciel superbe Le long du talus, machant un brin d'herbe
Ce soir, il y a bal dans ma rue. Jamais encore, on n'avait vu Une telle gaiete, une telle cohue. Il y a bal dans ma rue Et, dans le p'tit bistrot Ou la