{Refrain:} Ou s'en vont les avions Quand ils s'en vont ? Parfois, je crois qu'ils vont chez moi Ou s'en vont les avions Quand ils s'en vont Et les amours
donne Il faut apprendre a lire sur elle {Refrain:} Tous ces messages Sur son visage Tous ces presages Quand tombe le soir Dans l'eau dormante De son regard, Mais s
Vetu d'un rayon d' soleil Qu'un coton blanc, par instants voile Comme un pinceau sur la toile Rien que l'air vous fait fremir Il etait un p'tit navire
Pas rentre de l'ennui J'ai marche dans la ville La grande brasserie Ou les couteaux resonnent Qui es-tu qui me suis ? Maintenant, je frissonne J'ai traine dans les
veille sur son sommeil Elle se penche Elle se balance Vous voyez bien que rien ne manque Ni les silences Ni les serments Ni les rubans Fideles et bleus Ni les
les sens Et jete l'etincelle N'allez pas froler l'indecence Epargnez-moi l'incandescence Les souvenirs carbonises Les abandons passes La la la la la la la... "Decidement, les
belle", encore un peu Je t'embrasse en fermant grand les yeux La rue Blanche, le petit matin bleu Peu avant que Paris s'enflamme Que Paris ploie sous les
desir Elle a fondu dans le noir Sans coup ferir {au Refrain} Sous sa grande ombrelle La fille de joie etait belle Je n'avais plus d'idees noires J'avais les
que la laideur s'invite Comme dans ces contes Ou on raconte Qu'il faut rentrer avant minuit On aurait pu rouler sans fin Dans les couleurs et les parfums
'est comment, c'est froid ou c'est chaud ? C'est pointu, doux comme un pinson Ou bien comme un disque raye La-haut dans les nuees ? Mais elle a voulu s
tsunami Pire qu'un bar a bagarres De Calcutta {Refrain:} Il faut savoir prendre le temps Mener sa barque en cabotant Lacher la barre, couper l'amarre Suivre le vent Il faut aimer les
, elle croise les mains sur elle Et encore une fois, un deluge S'abat sur un parking Au-dessus du motel Les nuages s'amoncellent Comme s'ils allaient
Je veux mes yeux dans vos yeux Je veux ma voix dans votre oreille Je veux les mains fraiches du vent Je veux encore le mal d'aimer, Le mal de tout ce