faute a qui !? Quand les larmes coulent sur leurs levres On respecte plus celle qu'on baise que celle qui nous eleve On trouve l'excuse, qu'ici c'est la de'mer
Elle est pour toi cette chanson la Toi le rebelle devenue papa Toi qui n'revait que de colloc Et qui maintenant touche les allocs T'as laisse ta veste a l'arriere De ta familiale bleue de mer
Moi je sais toujours d?ou je viens Moi j?ai le sens du combat Moi j?ai des cales sur mes doigts Moi j?ai toujours mes mains d?or Moi je voudrais
Mediterranee En cas d'incendie, faut s'y prendre de bonne heure Faire une demande de pret pour obtenir un extincteur Le genre d'endroit ou tu peux toujours
catcheur baleze On l?insulte, ou bien on change de chaine, Et quand il fait froid on met des pulls en laine, On mange des fruits d?mer en montagne, Et
'argent facile, y'a bien sur la Tunisie. Si t'aimes bien les petits pois, il y a toujours l'Ecosse. Si tu aimes toucher du bois, il y a toujours les
diner, chacun chante la sienne L'oncle Jeannet qui pose au baryton Nous endort tous, c'est encore une aubaine De faire un penequet au cabanon. Pendant ce temps, les jeunes calignaires Cherchent toujours
bouchait les trous Lui ne s'etait pas fait marin Parce qu'il n'aimait pas la marine Pour un Breton, c' n'est pas malin Ils ont d' la mer plein les narines
C'est au bout du regard La ou les bateaux quittent la mer La, ou l'horizon est tellement plus clair Sous la belle etoile celle qui te dit que la vie ici
Le samedi apres-midi Prendre des souterrains Aller voir ou ca vit De l'autre cote Chatelet Chatelet les Halles Station balneaire Mais ou y a pas la mer
toujours comment je saurais comment est ton ami comment est ta paix comment t'aimer aussi comment je saurai et tes yeux a regarder la mer tes ombres
qui veulent la jouer Foutre leur bordel dans mes concerts Que cela vous serve de lecon Je serais toujours chaud pour foutre ma de-mer Y a pas de mysteres
Quand la mer ne porte pas Une seule trace de colere On s'imagine parfois Que ce calme la resume entiere Les vagues se bousculent en dessous Ce que l'on
notre amour de chaque nuit de tous les jours. J'ai vu ces iles grecs ou ne s'echourons plus les Dieux. Secher sur le bleu de la mer comme une larme dans
monde A moitie recouverte sous les herbes blondes Sur une ile perdue ou le ciel se lamente Depuis qu'ont disparu les avions de quarante On ne peut pas toujours
la mer Mais elle tient au creux de mes doigts Elle est tellement de choses a la fois On ne joue pas au poker Avec une fille comme ca C'est toujours elle
clair Aux reflets changeants de la mer, Colinette regarde la route, Va revant, tressaille, ecoute. Car au loin, dans le silence, Monte un chant enivrant toujours