Lassee de parler haut sans jamais pouvoir faire Et d'inventer souvent des excuses a nos faiblesses Lassee de nous apprendre comme deux etrangeres Et d
Des mers en furie, des musiques barbares, Des chants heureux, des rires qui resonnent bizarres, Et vous feraient le bruit d'un heureux tintamarre, Des coquillages blancs et des
Que nous prenions quelquefois Afin de mieux pouvoir nous embrasser En allant tous les deux au bois. Il y avait des larmes de rosee Sur les fleurs des
Aux des ou au poker jeux de l'enfer du hasard Quand le piano a bretelles jouait le fameux air que t'aimais Je ne suis pas melomane mais le vague a l'
, Volant vers l'infini, Et comme deux ruisseaux, Cherchant le meme lit, Nous irions dans le temps, Droits comme des roseaux, Quand sous le poids des ans, Nous courberions le
le couloir. C'est l'heure des solitudes Et des angoisses. Dans les chambres, Y a des combats, Y a des victoires, Y a des coleres, Y a des courages, Des remissions, Des esperances, Des