Que tout est possible, c'est Amelie, qui me l'a dit... Amelie a de l'or a donner Melodie de vie, c'est l'odyssee L'Amelie c'est comme l'amitie De la
La maigrelette promene son squelette Les pieds dans des chaussures idiotes La maigrichonne, elle s'rait presque mignonne Sous ses lunettes {Refrain:}
Le linge de nos meres sent bon dans les armoires la lavande et le grand air, c'est beau juste de les voir... Le linge de ma mere est plus blanc plus
J?en vois defiler des fantomes, des grandes vitesses Des corails Quand ils sont passes ou qu?ils aillent, tous me laissent Sur la paille Mais qu?est ce
Il est loin de moi le temps, Ou le monde etait beau est grand. Il est loin de moi ce temps la. Quand j'avais les yeux ouverts, En ete et en hiver. Il
Quand tu a aux toilettes est-ce que tu peux lever la lunette? Et si possible viser le trou histoire qu'il n'y en est pas de partout la petite brosse a
D'avoir la feve, ce serait le reve Etre sans peine, ta reine Une grande dame, une femme Un deuxieme toi-meme Mais on m'a dit toutes ces choses Sur les
Quand revient l'hiver a ma porte, Quand il faut que je sorte mon manteau tout vieux tout moche, Y'a des cadeaux dans ses poches, Des merveilles et des
Quand je serai la derniere des filles du monde Adieu ces quatre barierres qu'elles tombent Je ne me cache plus derriere J'suis dans la ronde Au trou les
J'ai peur des araignees, des trapezistes, des arrieres Des vieilles histoires et des martiens Des lendemains d'soirees (mais de nous non) De la guerre
Oui mais tu l?ignores, Une fille en rut dehors C?est dangereux pour tes yeux et ton petit corps Et si tu crois savoir, Que ces choses la sont rares Tu
J'partirai avec mon citronnier sous l'bras Et j'aurai plus qu'l'amitie qui m'restera C'que j'aurai l'air bete, Mais ce sera bien fait pour moi Puis
Depuis que j?pavane ma poule dans ta cuisine, Que dans ta salle de bain, je fais la maligne. Depuis qu?t?occupe la moitie de mon lit, Que tu m?taquines
Je me leve aux aurores, j'me recouche aussitot. j'prends soin d'mon corps, j'ecoute les oiseaux. J'observe les abeilles qui butinent la lavande; j'vis
Quand t'arreteras d'exister pour que les autres te voient Tu pourras tout remballer ta tete et ta voix Tu n'auras plus qu'a marcher tes pieds a ton pat
Le gros costaud dans son petit bateau, Comme une coquille pour un colosse, Pechait tout seul au mileu de l'eau, De la friture et du morse. Jusqu'a c'
Quand je t'ai vu ce matin au fond d'ma glace Les yeux plein d'sommeil finalement je m'suis dit Qu't'etais qu'un reflet qui vien qui passe Je m'suis retrouvee
Viens rentre dans ma cuisine Assieds-toi Dis-moi c?qui t?chagrine Prends une chaise Tiens quand t?as frappe J?allais m?faire un the Jasmin Si ca t?va
