Le jour ou Babylone tombera Ca sera le jour ou je danserai Flamme de Myriam de Magdala Avait quelque chose de vraiment vrai Je triche pas mais transgresse
Myriade vie tous on s'embarque tous c'qu'est en haut tout est en bas tout est unique tout est semblable tout c'qui arrive un jour s'en va tout est subtile
la rue nous eduque Ou peut-etre dans un squat politique en train de faire la recup Tous les endroits ou on s'en bat que je m'appelle arkana Dans le sud
Entends la rage qui gronde en bas contre la faim qui a grand pas Terrasse les villes et les campagnes, dedicace a tous les combats C'est bien plus qu'
Fluide comme l'eau, libre comme l'air Comme l'ether, pur comme le feu et solide comme la terre... A la memoire des notres, de nos galeres et des potes
Marseille,Marseille,Marseille,Marseille... keny: centre ville,M.A.R.S, pas besoin de presenter ma ville ca rappe depuis les premieres heures, microphone
« Madame, monsieur bonsoir ! Voici les titres de l?actualite de ce lundi. Des questions apres l?explosion de violence, hier apres-midi a travers le pays
Buenos Dias, quoi de neuf depuis la derniere fois ? La machine s'accelere, ses sombres desseins s'apercoivent Frustration est plus grande, devine qui
Un peu instable, Tant pis si tu me juge a tort, Tous un peu frustres, Pas pire et pas mieux que quelqu'un d'autres. Tu sais je crache mon mal etre, En
Matraques et flingues les hyenes sont de sorties Tolerance zero les garde av' se remplissent t'as pas de faffes T'as du shit Y'a les "OUH OUH" planquez
(Sirenes) Trop nombreux sont ceux qui ont oublies le passe L'histoire de l'homme, une honte, faut-il te le ressasser? Le monde, une spirale ou les memes
Petit soldat joue les durs Pas plus haut que trois pommes Deambule dans les rues Fume le shit et charbonne Voudrait impressionner le monde Marche seul
Je suis la, partout, j'ai resserre les murs J'ai impose ma surveillance, camera partout dans les rues J'ai approfondi les frontieres, un rempart pour
Expulses de nos centres-villes, expropries de nos droits Colonisation trop subtile, pour que vraiment le peuple voit Divises dans la peur, trop renfermes
Un poing en l?air, une main ouverte Car l'un n?empeche pas l'autre Dans l?ombre j?aiguise mon vers Car l?ange m?a dit ?t?as la parole? Donne de la
Les pieds betonnes dans le ciment, Le regard vert l'infiniment grand, Siecle XXI, Prison de peur et d'illusion, ils aimeraient nous faire croire que
"Ou sont passes nos sourires et ceux de ceux qu'on a vu grandir ? Le temps est si vite passe, que dire ? Tout va de pire en pire Melancolie que d'epoques
Dis-leur que c'est l'heure que l'missile rentre dans la machine. Ma rage. Sa maison mere, dis leur qu'ils ne pourront pas fliquer mon anarchie. Dis-leur