De cretes insensibles a l?adagio des plaines « Je suis vraiment navre », te dit le capitaine Et tu sens qu?il dit vrai et qu?il a le c?ur bon. Des lors
joue : Quartier lointain. En te levant ce jour Tu ne soupconnais pas L?intention de tes pas Et tu t?es reveille Dans ce lieu ou le temps Avait a te
La mer, en bonne fille, T?arrache a tout La terre n?a plus de gout Ni de visage Les histoires pleuvent la nuit Pendant le quart Toi, tu n?as pas d?histoires
a demenage. L?amour fuira par l?est Et sur ses pas lances Nous le rattraperons Lui paierons le loyer Puis la conscience tranquille Nous irons nous coucher A
nuit A portee de main. Adieu, Alma La lune est pleine Comme le c?ur, entre les jardins Qu?elle eclaire Et j?espere Qu?on nous regarde Qu?on nous regarde. (Merci a
Quand je saurai viser ; En attendant, j?embrasse La joue qui s?est baissee Dans la rue verglacee Et a demain l?angoisse. Il neige ce matin Cinq ans a
c?ur d?autres maisons muettes Bouches closes une fois l?ete passe La table mise, la femme fluette L?assiette qu?il n?y a qu?a rechauffer Et l?hier soir
cette fois C?est sur toi que je compte ardemment Assise face a la porte Je t?attends Mais peut-etre attends-tu Que je vienne t?ouvrir ? (Merci a Jeremy
comme baleines La route est une mer qu?aucun rouleau n?agite Les peages comme des iles balisent notre fuite Dans un camion. Dans la plaine devolue a
, l?ete Si c?est mieux, si c?est pire Tu n?insisteras pas J?entends les marches craquer Elles devancent les pas De qui va s?en aller N?y a-t-il donc
Alors, le bras sur son epaule elle a ri fort, ca a claque ; seules quatre des quilles sont tombees les voir t'a fait rater ton coup. Elle aurait pu attendre
rangee d'arbre dans la plaine, Quel age ont nos pas dans la plaine Antonia, Tu resteras la, inoubliee C'est decide... C'est decide... (Merci a Meenoo
presque beau De vous voir, presque beau Ta patience infinie Ses «non», «oui», «pas ici». Un jour ca s?est passe Elle voulait dans ta chambre Et tout a
, je suis noir de peau. Tant elle m'a regarde Ca aurait pu me rendre beau Mais la vraiment je suis grille. Et tous les soleils a venir Ne pourront que
vieux megot Mon tout dernier regard Se portera sur tes fesses Ou je cachais chaque nuit Le plus precieux de mon magot Je t'ai toujours aimee... (Merci a
me fait Etre aussi un larbin ; Mais secoue-moi un peu Que reviennent imperieuses Mes armes de pleureuse Oui, je suis ta pleureuse A jamais ta pleureuse. (Merci a
'epaulaient Je crachais sur hier Comme pour dire "ca va mieux" Mais c'est dur en crachant D'eteindre un feu On s'aimait bien... (Merci a Yerdua pour
en dire un mot. Oh comment certains vivent ? Comment veux tu les suivre ? La, Comment ? Ils voient des raccourcis, la ou il y a des impasses, Et s'