A l'age ou l'on n'aspire souvent qu'a parvenir a fonder un foyer C'etait pour toi la pire, des possibilite Je me souviens tres bien, des mots qui furent
Certains choix sont des dechirures Crois-moi ou pas, je te le jure Tu n'as pas cesse de compter Me liberer de ton etreinte Dans ma peau creuser tes empreintes
Dans ses periodes d?incertitude Couvrant le bruit de l?eau du bain, Lorsqu?il brode ses vicissitudes Et son ennui presque trop bien Il entend roder des
Finir dans les journaux Comme on emballe un corps Transparent comme l?eau Et fige comme un mort Transparent comme l?eau Et fige comme un mort Finir dans
Il faudrait voir a tout revoir, Les etincelles s?insinuent Dans tout ce que l?on donne a voir ; L?audace est portee disparue ? Il faudrait arreter de
La, des dunes, les calanques Semblent a l?infini durer ? Joindre le satane manque Que ta fuite m?a inflige, Me ravager le thorax, Tout l?abdomen en puree
« J?ai beau tout tester, Je deteste tout » Voila qu?elle a reponse A tout Je tombe a ses pieds Elle tombe a genoux Consent a rester « Un peu, mais c?est
Tout est ta propriete, Tout ce que mon etre a ete. La foi m?a lache, lachete, Je t?ai laisse m?acheter ; Et tu m?as laisse m?endetter Quand j?aurais pu
Que ce soit clair chers partenaires Dans une salle de seminaires Je veux vous voir savoir vous taire Je veux revoir votre salaire Pensez a moi mon pauvre
Souvent, c?est arrive que je te sente inquiete Assise a m?observer, mains croisees sur la tete Tu restais au salon, puis tu passais la porte, Jaugeant
Oh mon ivresse A l?autoroute A3 Vous mes faiblesses Et vous mes faux-pas Vous ces annees Vous ces annees sans combat Ou j?etais es- sentiellement mort
Sur Paris fondent les lumieres Blanc reflet sur la scene Et profond dans l'arene Je m'enfonce sans toi Je fais mon voeu Je leve mon verre Jusqu'au fond
... J'aurais fini c'est mieux comme ca D'en haut des cieux s'envole un cri n'entends-tu pas? Pleurer les saints que le paradis decoit J'(elude?) ceux
Sur la ville l?orage mon amour et ta peau sous l?air anthropophage de mon ?il nouveau mon amours des presages traversent les niveaux du batiment sans
Il est deja tard, rendors-toi, Machine C'est la routine de ne plus te voir Les yeux ouverts tout semble en ruine Toi tu t'obstines Si t'as l'cafard
Debout, tiens toi, on te regarde Et c'est ton tour, ton tour de garde, Debout, un, deux trois, compte, Jusqu'a la fin du monde, jusqu'a la fin du monde
Tu es legere Et tout est lourd Du papier de verre Du papier de verre Tout autour Tu es legere Et tout est pesant Par quel mystere, Par quel mystere
Les hommes ordinaires Defilent sous les reverberes Le soir, quand cesse leur colere ; Ils arpentent les memes parterres Ils repetent qu?ils donneraient