On etait quelques hommes Quelques hommes quelques femmes en revant de liberte On n?etait pas a vendre Mais on pouvait revendre des montagnes d?amitie
Ce reve auquel tu crois, Dis qu'en restera t-il? Si tu ne bouges pas, Dis qu'en restera t-il? Si tu traines chez toi Dans l'angoisse inutile, Si tu ne
Je ne vivais que d'insouciance, Ma vie brulait par les deux bouts Exces de plaisir, d'arrogance, L'exces ne sait que rendre fou. Et je n'etais qu'adolescence
On n'a pas le meme drapeau, Ni la meme couleur de peau, On n'a pas le meme langage, La meme culture, les memes images. On n'a pas les memes racines,
Il faut de l'audace; il faut de l'adace tu sais, Pour trouver sa place, et pour que tu puisses changer il faut etre sur il faut etre sur tu sais, ne
Dis a quoi ca sert de marcher sur cette terre Sans jamais te parler, sans jamais t'approcher ? Et le temps qui passe, ne change rien a rien, Oui, ce temps
Tu sais que j?ai du mal, Encore a parler de toi, Il parait que c?est normal, Il n?y a pas de regles dans ces jeux la. Tu sais j?ai la voix qui se sert
{Refrain:} Toi plus moi plus eux plus tous ceux qui le veulent Plus lui plus elle et tous ceux qui sont seuls Allez, venez et entrez dans la danse Allez
Si le vent pousse les nuages, On apercevra le soleil, Et l'on pourra tourner la page, De ces matins, pauvres reveils, Ces matins qui gardent en otage,
Ce qu'il reste de toi, une image imprecise, une odeur sur mon drap, une tache sur ma chemise , une photo perdue dans un etrange vide des detours dans
A chaque distance qui nous separe je repense a toutes nos promesses Dans chaque avion de chaque gare Dans l'amertume de mes ivresses Je connais si bien
Comment faire, pour se plaire. On est de la meme terre mais pas du meme monde. Quel enfer de se taire, mais comment se parler ne serais-ce qu'une seconde
Je pense souvent a vous sans vous le dire Oh oui j'y pense tellement que j'ai du mal a dormir Ma solitude m'engueule de ne meme pas vous ecrire Mes
Ca n'est pas tes mains ni ta bouche, Ca n'est pas tes seins qui me touchent, Ca n'est pas le chaud de tes bras, Ca n'est pas les mots dis tout bas, Ca
A tous ces gens que je connais, Depuis 20 ans ou quelques jours, A tous ces gens qui m'ont donne un peu de temps, meme des toujours, A ceux qui ne sont
Demain, je vais sauver le monde, Ne plus penser a hier, Nos blessures sont si vaines, Se connaitre et etre fier qu'une vie coule dans nos veines, Ne pas
Je sais que l?on se connait peu, Mais je dois vous faire un aveu, J?ai l?impression bizarre, etrange, Qu?aujourd?hui mon bonheur se venge Lui que
La-bas sur l'ocean Dans ce phare qui scintille Le gardien vigilant Demeure sans famille. Seul dans l'immensite Quand le flot se souleve Parfois comme