Des enfants carton Blottis sous des haillons Sans reticence ni peur Ils souffrent par erreur Un silence ardent Fige dans l'inconscient Endurcira les
Comme un volcan saoule de fievre Defie ses nuits, veut que ca se deregle C'est une eruption sereine Un vent que rien ne freine Comme un volcan d'amour
Hors des croisades C'est pour Carolyne Que je pose mon arme Blesse d'espoir Je roule dans la poussiere Mais je ne pense qu'a tes levres Oh Carolyne,
Le sable chaud Sous les bateaux Dans ces pays imaginaires Soleil de plomb A l'horizon Des pirates se jettent a la mer Dans l'ocean Tous ces tresors
La ville range ses coleres Dans la rouille des machines en fer, Ce soir, j'en ai marre. Le rideau enfin se leve Et le clip ralentit mes nerfs, Ce
Elle est moi Un frisson se balance Elle et moi Comme un rayon qui danse Elle me blottit dans ses envies Elle improvise mes nuits Une flamme qui brule
Si l'on m'avait conseillee, J'aurais commis moins d'erreurs, J'aurais su me rassurer, Toutes les fois que j'ai eu peur, Je me serais blottie au chaud
Ne pleure pas, quel est ce drame? Viens contre moi, que j'essuie ces grosses larmes. Un p'tit bout d'femme qui se rebelle C'est un message S.O.S. de
Flip la piece se noie Depart sur la planete Trip viril et froid Je roule et ne m'arrete Flip bumperez-moi Je serai votre reine Trip clignotera Sur l'
Pars pas Mais ne reste pas Quand meme Refuse mon tourment, Ma peine, Refuse quand Je t'aime T'en vas pas Mais disparait De la scene Nos differents Se
Femme sous le drapeau de ses reves, Crie son nom, retire ses chaines, Femme qui se soutient differente, Que d'espoir sur la balance, Tu etouffes dans
J'ecris ma vie A l'encre de mes souvenirs Je les retrouve dans un sourire C'est si fragile Comme des amis Ces jeux d'enfants qui laissent rougir L'amour
La nuit ouvre ses fenetres, Sur la planete deserte, S'ecrase dans une cigarette, Joue sur l'onde muette. Et l'homme s'enferme sans attitude, Compte
Dans les rues vides de Manhattan J'entends la nuit J'entends des larmes Dans ce brouillard Mes mains se joignent J'ai le coeur qui fait tam-tam Non,
Souvent, pour s'amuser, les hommes d'equipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers Qui suivent, indolents compagnons de voyage Le navire glissant
Toutes ces laves Sur des rochers noirs C'est la terre qui gronde De desespoir Toutes ces vagues Pleurent dans le brouillard Le crepuscule de toute une
C'est l'histoire D'un reve troublant Un message L'histoire d'un enfant Qui marche seul Dans les villes en flammes Sans nom sans ame Epuise de larmes.
Comme un vieux fleuve abandonne Que l'indifference a seche Son histoire n'est plus qu'un roseau fane Qui se meurt; Elle lui avait jure devotion Aveugle