Des enfants carton Blottis sous des haillons Sans reticence ni peur Ils souffrent par erreur Un silence ardent Fige dans l'inconscient Endurcira les
Comme un volcan saoule de fievre Defie ses nuits, veut que ca se deregle C'est une eruption sereine Un vent que rien ne freine Comme un volcan d'amour
Dans les rues vides de Manhattan J'entends la nuit J'entends des larmes Dans ce brouillard Mes mains se joignent J'ai le coeur qui fait tam-tam Non, c
Parlez-moi de ces trucs Car lui ne m'en parlait pas Ces frissons qui moussent Et que je ne connais pas J'en devine leur insolence Entre vos doigts Ces
[...] [Refrain] C'est pas de l'amour dont je ne veux pas Non pas du "our" mais bien du "A" Le moins magique est redoutable (x2) A force de ce pas convenable
La ville range ses coleres Dans la rouille des machines en fer, Ce soir, j'en ai marre. Le rideau enfin se leve Et le clip ralentit mes nerfs, Ce soir
Oh, dites-lui que je l'aime Que ma vie sans lui serait l'enfer Oh, dites-lui que je l'appelle De toutes mes forces, de toutes mes levres Toutes mes impulsions
J'ai detruit le brouillard Je ne pointais pas le hasard Mon petit c?ur dormait mal "Faut qu'il m'aime" Amour joue vole Souffrir pour deguster Nous deux
Elle est moi Un frisson se balance Elle et moi Comme un rayon qui danse Elle me blottit dans ses envies Elle improvise mes nuits Une flamme qui brule
Hors des croisades C'est pour Carolyne Que je pose mon arme Blesse d'espoir Je roule dans la poussiere Mais je ne pense qu'a tes levres Oh Carolyne,
C'est un voilier qui part Et qui jamais ne reviendra Emporte par les vagues Une derniere fois il dresse son mat Y a plus de reve L'horizon est bien trop
Femme sous le drapeau de ses reves, Crie son nom, retire ses chaines, Femme qui se soutient differente, Que d'espoir sur la balance, Tu etouffes dans
Si l'on m'avait conseillee, J'aurais commis moins d'erreurs, J'aurais su me rassurer, Toutes les fois que j'ai eu peur, Je me serais blottie au chaud,
Le sable chaud Sous les bateaux Dans ces pays imaginaires Soleil de plomb A l'horizon Des pirates se jettent a la mer Dans l'ocean Tous ces tresors Que
C'est une puissance invisible Le choc des mots n'existe pas Lorsque la force joue la violence et l'egoisme Lorsque rien n'est plus fort que ta voix C'
La nuit ouvre ses fenetres, Sur la planete deserte, S'ecrase dans une cigarette, Joue sur l'onde muette. Et l'homme s'enferme sans attitude, Compte a
Un onda che si butta via Guardando l'alba che si gira Ma quando il vento canta Il freddo sa il male che mi fai Tu dove vai? E come un canto di follia
Souvent, pour s'amuser, les hommes d'equipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers Qui suivent, indolents compagnons de voyage Le navire glissant