Comment fais-tu pour ne pas m'entendre Comment fais-tu pour ne pas comprendre Tu t'fout en l'air et tu desespere, meme les oiseaux du ciel savent qu
Heeeooo, heeeheeeoo, heeeheeoo, heeeooo Heo!(heo) beyatchie ho beyatchie Heo!(heo) beyatchie ho beyatchieee Heeheeeoo beyatchie ho beyatchieee Controle
Sur le rythme imite du son qu?il ne triche pas, la verite sur le mensonge ne prendre-t-elle pas toujours le pas Loin des facteurs du mapouka, le son
Ils ne montrent en exemple que des gens malhonnete, des qui n?ont de proportion qu?a faire la fete Ils s?etonnent que les jeunes d?aujourd?hui perdent
La musique souffre dans son ame De ne pas etre entendue Assourdie par le gouffre du blame Ou elle s?est perdue Resonneras-tu Decibelle? Retrouveras-tu ton ciel
avions brisent leurs ailes C'est pour vivre Que l'on jette des billes Dans les quatre vents du ciel Tous ces hommes qui cherchent la rive Et la raison du
Rom?et Juliette L'histoire de la Belle et la B? Je ne comprendrais pas Dis-moi plut?omment t'aimer Ce qu'il faut faire pour te garder J'entends ta voix
surtout que j'aime ?uter Il conna?tant d'histoires Le vieux monsieur de la rue Royale Et ses yeux d'Atlantique Le vieux monsieur de la rue Royale Et sa voix
peu la voix du bon dieu Quand on rend les gens heureux On a le coeur loin du chagrin Quand on a chante On a tous un peu la voix du bon dieu Quand on
jamais parti Mais lui il s'en fout bien Mais lui il dort tranquille Il n'a besoin de rien Il a trouve son ile Une ile de soleil et de vagues de ciel
sous le ciel Grec Un bateau, deux bateaux, trois bateaux S'en vont chantant Griffant le ciel a coups de bec Un oiseau, deux oiseaux, trois oiseaux Font du
Il faut du temps pour oublier tous les anciens visages Il faut du temps pour arriver tout au bout du voyage Il faut du temps pour arreter le manege
bras Ta voix suivait ma voix On etait jeunes et l'on croyait au ciel La, la, la... On etait jeunes et l'on croyait au ciel Et puis sont venus les jours
lumiere Douce et claire, douce et claire Et toi tu viens tout pres, tout pres de moi Tout bas, dans la nuit irreelle Ta voix m'appelle Du ciel, descend
tous a Cordoba La-bas Sous le poids du soleil S'endort Cordoba Tant d'etranges senteurs De cuir et de miel De poivre et de fleurs Tandis qu'au ciel
Que le ciel est un nuage sans fin, que les gosses qui naissent Sont comdamnes depuis leur couffins, que si ca continue c'est bientot la fin. Que le parfum du "fin du
l?air, pour que l?exercice de navigation dans le ciel d?acier d?une folie passagere provoque l?extension du panel d?univers paralleles. Plus jamais j