vie Billy pourvu que tu m'aimes Que mon nom s'enroule ?on nom Si les gens s'aiment Comme nous nous aimons Les magiciens reviendront Donnez-moi le monde
m'apprend le nom des roses Le secret de toutes choses Le monsieur, le monsieur, que j'aime Le vieux monsieur de la rue Royale Il ne pense qu'aux autres Le
resta dans la chambre d'avril a decembre Avec sa robe courte de jour en jour plus courte La fille ne savait pas grand choses des gens et des usages Elle
le mal est fait, je m'attaque a ceux qui le cautionnent J'existait avant, existerai apres le telephone Qu'on veuille ou non que je sois mis au courant Je suis le
nous manipuler comme des poupees, nous couper l'herbe sous le pied, de facon a ce que les gens ne puissent plus respirer. Nous sommes comme des parasites
y est j'suis la, 17h45, le stylo dans la main Faut qu'jtrouve l'inspiration, le studio c'est demain 24 heures, un micro branche Une facon d'approcher le
-tue n'ont pas comprit le jeu de ce putain de pays. On les faits passer pour des cons et eux ils jouent au con, donc eux se sont des quoi ? Des pions
contre les toxines du vice Et ses victimes, le crime est une vitrine, le service apres-vente c?est des meres qui pleurent et des peres qui triment Des
dans ton salon a qui bon s'exciter faire des mysteres Sur terre c'est rare d'etre expert t'es souvent sans reperes Koma Sans reperes et sans rien C'est rare de voir des gens
son utopie, c'est cette philosophie que je defends. Pourtant bien des gens n'ont pas compris le concept.On s'evertuent a propager des rumeurs incorrectes
a tort et a travers Trop vite adjugee a des gens Qui ne sont que des blairs UN enchaine le deux Voila le trois Ce deuxieme couplet Est adresse a
J'ai tue mon pere, ma mere C'etaient des gens bien De la serpe des moissons J'ai repris mon nom "Coupez lui la tete" criait la foule Sur mon chemin
J'ai tue mon pa?re, ma ma?re C'etaient des gens bien De la serpe des moissons J'ai repris mon nom "Coupez lui la ta?te" criait la foule Sur mon chemin
veulent nous manipuler comme des poupees, nous couper l'herbe sous le pied, de facon a ce que les gens ne puissent plus respirer. Nous sommes comme des
des vacances, faire le tour d'la France. Abuser en hotel, casino, sans me soucier de mes depenses. Je cotoie des bourgeois, femme d'inspecteur, fille d'avocat Garde du corps dans le
N'importait que le fait que chacun quitte ce lieu bienheureux Et j'etais la, chillais tranquille sur mon banc Regardant le hip hop s'emparer l'esprit des gens Mercredi des
