meme les nuages m'ont oublie pas un orage pour l'ete pas de voyage a raconte les voix ferrees ont fait naufrages les souvenirs gaies sont de passages l
plus qu'a Assez de bruit, assez de gris Assez de rues assez, ca suffit Les jeux des enfants se sont eteints fatigues Leurs voix, de murmure en sommeil J'entend les
des lois racistes. MADJ : Alors assez de l'anti-racisme folklorique et bon enfant dans l'euphorie des jours de fete. JF RICHET : Regularisation immediate de tous les
rien ne va plus allie pour le meilleur comme le pire Plutot souffrir que trahir L'enfant terrible des Comores Encaisse les victoires pour son ecurie Mon envie secouee les
J'suis pas venu ici depuis longtemps Mon pote y habitait quand j'etais enfant Les soirees dans l'usine, le cra?ve coeur des grands Mais toi qu'est-ce
... j'fais la vie buissonniere J'suis meme pas l'pere reglementaire J'ai des enfants qui ont mes yeux Mais Dieu j'espere vraiment pour eux... Qu'ils verront les
jolie Quand tu te maquillais les yeux D'un peu de poesie Quand tu m'accueillais d'un sourire Au pays des oiseaux-lyres Quand l'amour tendresse Tenait ses
affiche pas dans les emissions de variet' Incorruptible, J'chante avec les triples et c'est audible Visible dans les clips Enleve le son, toujours credible L'enfant est terrible Tous les
Soprano : J?ai la peau coloree au tam-tam L?haleine du ramdam, les tongs des Dom Tom L?anatomie qui fait rever les femmes flics Vu comme elles me fouillent
te l'expliquer Et puis tu sais, le monde est si plein de mysteres mon enfant, Que meme les grands sur cette terre, meme les grands, Oui ne comprennent
pleut sur les femmes obstinees a emplir les eglises par l'entonnoir des porches Il pleut sur les planchers d'aiguilles de sapin sur l'escalier des mousses
{Voix d'enfant:} On ne peut rien faire quand on est petit Ca commence a bien faire, tous ces interdits ! Va chercher sur l' front du voisin Les flechettes
. Moi Robert, toi Lisa. Qu'importe, News York, News York si ta voix porte. Sur le Pont de Brooklyn, ma Petite Amoureuse defiee les buildings, comme une enfant
consomme la voyelle Les annees passent comme les mois, Les mois comme les semaines PASSENT comme les jours Parce qu'on echoue L'Afrique saigne Qui tient les
en revant Fixes droits vers l'ocean Peines muettes ou courses d'enfant Bouts de vie que tu caches A l'abri dans ton silence Que brise ma voix, je le
sourit radieux O nuit d'amour, Sainte nuit Dans l'etable, aucun bruit Sur la paille, est couche l'enfant Que la vierge endort en chantant Il repose en ses
Je reve de toi Meme le jour J'entends ta voix La voix de l'amour Suspendu au plafond Tes rires eclatent Tu es heureuse Et au fond de la piece il y a